Projection-débat le 14 avril à Souillac

Voici une nouvelle soirée « film + débat » organisée au cinéma « Le Paris » de Souillac.

À l’heure des mobilisations sociales contre la réforme des retraites, ce sera l’occasion de revenir sur l’origine et la création de la Sécurité Sociale.

Il y a 75 ans, les ordonnances promulguant les champs d’application de la sécurité sociale étaient votées par le Gouvernement provisoire de la République. Un vieux rêve séculaire émanant des peuples à vouloir vivre sans l’angoisse du lendemain voyait enfin le jour.

Le principal bâtisseur de cet édifice des plus humaniste qui soit se nommait Ambroise Croizat. Qui le connait aujourd’hui?

75 ans plus tard, il est temps de raconter cette belle histoire de «  la sécu ». D’où elle vient, comment elle a pu devenir possible, quels sont ses principes de base, qui en sont ses bâtisseurs et qu’est-elle devenue au fil des décennies ?

Au final, se dresseront en parallèle le portrait d’un homme, l’histoire d’une longue lutte vers la dignité et le portrait d’une institution incarnée par ses acteurs du quotidien.

Le film sera présenté par Réseau Salariat Lot qui animera également le débat qui suivra.

Réseau Salariat est une association d’éducation populaire qui réunit des travailleuses et des travailleurs de tous horizons : salarié.e.s d’associations, d’entreprises et de la fonction publique, syndicalistes, mais encore retraité.e.s, entrepreneuses et entrepreneurs, chômeuses et chômeurs, parents et étudiant.e.s.

Le nouveau « parking » à Gignac : une réalisation déconnectée des préoccupations environnementales

Après avoir appris en conseil municipal du 16 février 2023 le changement d’affectation de la parcelle acquise par la mairie avec la maison Bastit, parcelle située entre le chemin et la rue du Puits du pré, le manque de communication autour de ce projet a alimenté les rumeurs à Gignac. Rappelons qu’un des arguments qui avaient motivé l’achat de la maison Bastit par la commune était de réaliser des jardins partagés sur ce terrain (voir PV du conseil municipal ICI). Faute, soit disant, de trouver d’autres solutions pour créer des places de parking aux abords du futur café-commerce, la mairie a décidé de transformer la part de ces jardins familiaux lui appartenant en parking (voir notre article du 9 mars « A Gignac un parking pour voiture à la place de jardins partagés« ). Et pourtant d’autres solutions existaient bel et bien et elles semblent évidentes à nombre de gignacois et gignacoises avec qui nous avons discuté.

Un projet tenu sous silence

Pourquoi ce projet a-t-il été tenu aussi longtemps sous silence et n’a pas même été évoqué lors de la réunion publique cœur de village le 15 septembre 2022 ?

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Notre compte rendu du conseil municipal du 22 mars 2023

Le conseil a débuté à 21h au lieu de 20h30 habituellement car une réunion entre conseillers s’est tenue avant. 

Ce conseil s’est déroulé en présences de 12 conseillers et nous étions 2 personnes dans le public.

Ce fut un conseil bref (moins d’une heure) ne comportant que 3 délibérations dont vous pouvez trouver le registre ICI ; notre retour sur le CM constitue un complément d’information :

1 – Délibération n°1 – Budget principal : Délibération autorisant le maire à engager, liquider et mandater des dépenses d’investissement dans l’attente du vote du budget primitif 2023 (dans la limite du quart des crédits ouverts au budget de l’exercice précédent)

Deux dépenses d’investissement sont engagées sur le budget principal 2023 de la commune non encore voté :

  • 10 720,38 € dont il est clairement dit qu’ils sont l’attribués à la création du parking du futur commerce bien qu’ils soient inscrits sur le registre des délibérations sous l’intitulé : Création de trottoirs et aménagements de sécurité de la RD15. Le montant a été négocié avec l’entreprise qui fait les travaux cœur de village, malgré tout il nous a semblé impossible de réaliser un parking de 12 places avec un tel budget. Explication dans l’article : « Le nouveau « parking » à Gignac: une réalisation déconnectée des préoccupations environnementales actuelles ! » .
  • 35 000,00 € pour l’achat d’un nouveau camion, le camion de la commune ayant été classé comme épave suite à un incendie.

2 – Délibération n°2 – Accord préalable concernant l’opération d’un diagnostic énergétique en vue de travaux de rénovation de la mairie, de la salle des fêtes, de la bibliothèque et du multiple rural

En vue de demandes de subvention pour la rénovation énergétique des bâtiments communaux, des devis de diagnostics obligatoires ont été établis par la FDEL (Fédération départementale d’énergie du Lot). Compte tenu du coût élevé de l’ensemble, ne sont retenus que les diagnostics pour la mairie et un logement au 1er étage, la salle des fêtes et la bibliothèque. Deux devis séparés ayant été effectué d’un côté pour la salle des fêtes et de l’autre pour la bibliothèque, il va être renégocié pour les regrouper puisqu’elles se trouvent dans le même bâtiment. Bien que la grande salle se trouvant à l’arrière du multiple rural ne possède ni double vitrage, ni chauffage, le projet de diagnostic en vue d’une rénovation énergétique est abandonné car estimé trop coûteux.

3 – Délibération n°3 – Modification des statuts du Syndicat Mixte des Eaux du Causse de Martel et de la Vallée de la Dordogne (SMECMVD)

Cette modification est constitutive entre autres de l’entrée de Floirac dans le syndicat.

Questions diverses

  • Le café-commerce devrait ouvrir début juin. Une communication a été faite sur le site de la mairie et intra-muros en date du 20 mars pour présenter les deux candidats retenus. L’un d’entre eux, spécialiste en pâtisserie, envisage de la vente à emporter.
  • Eglises : la restauration des vitraux est prévue pour la fin 2023/début 2024. Pour le plafond de celle de Saint-Bonnet, c’est l’entreprise Joffre qui interviendra.
  • PLUIH : Cauvaldor convoque les conseillers pour un atelier le vendredi 7 avril, chacun doit amener les projets de changement de destination.
  • Cœur de village: l’échantillonnage de dallage était prévu de 10 m² mais seulement 3 m² ont été fournis et l’épaisseur des dalles n’est pas conforme aux attentes, donc il y aura un retard de deux semaines pour la livraison.
  • Pour l’utilisation du parking du centre bourg, il faut attendre que le gazon soit enraciné. Les allées sont en enrobé drainant (c’est un enrobé perméable qui permet à l’eau de s’infiltrer dans le sol au lieu de ruisseler).
  • La mairie n’a toujours pas de réponse de la région suite à sa demande de subvention qui a été faite il y a un an.

Rappel de la défenseure des droits sur le respect des règles de déontologie par les forces de sécurité

Comme nous en avons pris l’habitude, nous relayons à nouveau la position de la Défenseur des Droits, ici sur les violences possibles des forces de l’ordre lors des dernières manifestations, tant il vrai que ce sujet pourrait tous nous concerner directement un jour ou l’autre.

Préoccupée par les vidéos circulant sur les réseaux sociaux, de nombreux articles de presse, des témoignages et saisines reçus par l’institution sur de possibles manquements déontologiques dans le maintien de l’ordre au cours des évènements des jours derniers, la Défenseure des droits tient à rappeler ses recommandations.

Autorité administrative indépendante inscrite dans la Constitution, l’institution du Défenseur des droits est l’autorité de contrôle externe chargée de veiller au respect des règles de déontologie par les personnes exerçant des activités de sécurité sur le territoire de la République.

Le Défenseur des droits a, à plusieurs reprises, documenté l’usage de la force dans le cadre du maintien de l’ordre et les règles de déontologie qui s’imposent (rapport réalisé en 2017 à la demande du président de l’Assemblée nationale sur « les conséquences de la doctrine et de la pratique du maintien de l’ordre en France par les forces de l’ordre au regard des règles de déontologie qui s’imposent à elles », avis 2020-08 relatif au nouveau schéma national du maintien de l’ordre ; décision cadre 2020-131 sur les pratiques du maintien de l’ordre au regard des règles de déontologie; étude sur la désescalade de la violence et la gestion des foules protestataires en 2021).

Alors que de nombreuses manifestations se déroulent actuellement, la Défenseure des droits souhaite que ses recommandations issues de ces travaux d’étude et saisines soient suivies d’effets, en particulier les préconisations suivantes :

– encadrer strictement les contrôles d’identité, les fouilles et les filtrages, afin que ces mesures soient, dans le cadre des manifestations, justifiées et réalisées dans le respect des libertés individuelles et dans des conditions conformes aux règles déontologiques ;

– s’assurer que l’encagement est utilisé de manière nécessaire et proportionnée, dans les conditions prévues par la décision du conseil d’Etat du 10 juin 2021 sur le schéma national du maintien de l’ordre, notamment en prévoyant systématiquement un point de sortie ;

– recentrer le maintien de l’ordre sur la mission de police administrative de prévention et d’encadrement de l’exercice de la liberté de manifester, dans une approche d’apaisement et de protection des libertés individuelles.

Elle souligne que le respect des règles de déontologie est essentiel pour apaiser les tensions et favoriser la confiance entre la police et la population.

Enfin, la Défenseure des droits alerte sur les conséquences d’interpellations qui seraient préventives de personnes aux abords des manifestations. Elle souligne que cette pratique peut induire un risque de recourir à des mesures privatives de liberté de manière disproportionnée et de favoriser les tensions. La liberté individuelle ne peut être limitée que dans le cadre et les conditions fixées par la loi.

Au titre de sa mission de contrôle du respect de la déontologie par les forces de sécurité, la Défenseure des droits est compétente pour traiter toute réclamation relative à de possibles manquements dans le cadre du maintien de l’ordre, qu’elle émane de victimes ou de témoins.

La Défenseure des droits, inquiète des témoignages dont elle est destinataire, restera vigilante quant à la bonne application des règles de déontologie par les forces de sécurité.

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Une fête du court-métrage réussie

Mardi 21 mars, nous avons pu voir nos efforts aboutir pour que cette « Fête du Court » puisse enfin se dérouler !

En effet, l’incertitude a longtemps plané sur cette manifestation puisque le chauffage de la salle polyvalente de Gignac nous empêchait d’utiliser ce lieu, mais grâce aux efforts conjoints du Foyer Rural, de Ciné-Lot, de la mairie de Cressensac, du Rionet (excusez du peu !) et de nous même, un plan B a pu être mis en place.

Ainsi, dès 10 heures, nous avons accueilli dans la salle des fêtes de Cressensac les maternelles de Gignac et de Cressensac pour 2 séances de 5 petits films, chacun d’une durée comprise entre 4 et 10 minutes.

Assis sur des tapis, tous ont été captivés, soit par un loup pas très méchant, la peur du noir, un ami imaginaire, la désagréable expérience de la moquerie ou encore un drôle de dessin animé musical.

En début d’après-midi, ce sont les « grands » de primaire de Cressensac et Sarrazac, un peu plus indisciplinés, qui se sont pliés à l’exercice. Pour eux, là aussi 2 séances pour 8 films en tout, certains repris de la matinée, d’autres davantage pour les grands comme une histoire d’amitié contrariée par un déménagement impossible à empêcher.

A partir de 18 heures, place aux adultes avec 5 films originaux d’une durée comprise entre 10 et 18 minutes (le format court est normalement limité à 30 minutes, au delà duquel on passe dans le moyen-métrage dont la 20ème édition du festival de Brive a lieu cette semaine).

De l’humour, de la violence (un peu), de l’inattendu, de l’aide à son prochain… ou pas, bref ce qui fait la vraie vie.

Extrait :

N’ayant pu faire beaucoup de publicité à l’avance à cause des incertitudes que nous avions quant à la tenue de cette manifestation, le public adultes n’a pas été à la hauteur de nos espérances en terme de quantité, mais nous nous sommes quasiment tous retrouvés autour d’un bon repas partagé, avec le désir et le plaisir de parler de ce que nous venions de voir.

Et à 21 heures ce fut la dernière séance, avec 5 films plus consensuels et des acteurs connus, tournant principalement autour des rapports humains, pas toujours faciles à vivre.

Au final, une belle journée qui a permis à de nombreux jeunes et à quelques moins jeunes de découvrir ce formidable Format Court où une histoire complète peut se raconter en moins de 15 minutes.

Pour info, la fête du court 2023, ce fut 2 millions de spectateurs, 7800 organisateurs et 17000 projections réparties dans 4500 communes !

 

Rallye Castine : on accélère ou on freine ?

Le Rallye Castine continue à faire des vagues et un collectif d’opposants vient de se créer pour dénoncer notamment les atteintes à l’environnement créées par cette manifestation.

Nous relayons ici leur message, leur invitation à un rassemblement festif le samedi 25 mars ainsi que la pétition qu’ils ont mise en ligne sur CHANGE.ORG

Les 5, 6 et 7 mai Le Rallye Castine va encore une fois saccager des sites à fortes valeurs patrimoniales et environnementales comme La Vallée de la Doue à Martel, le site du Hameau de Barrières et des Dolmens à Miers.

Afin de manifester notre opposition au passage du rallye dans ces sites fragiles, Le collectif « Ici on vit bien SANS LE RALLYE CASTINE » vous propose une

MARCHE CITOYENNE

SAMEDI 25 MARS 2023 RV à 11h00

au PONT DE MURLAT (entrée du chemin vers l’œil de la Doue )

D23 entre Martel et L’Hôpital Saint Jean

Un pique-nique tiré du sac s’ensuivra.

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Le 21 mars, c’est « La Fête du Court »… à Cressensac

La Fête du court-métrage, c’est une manifestation nationale qui se déroule chaque année au mois de mars dans des centaines de lieux en France, soit institutionnels comme des cinémas, soit des lieux provisoires montés pour l’occasion.

Nous avions déjà prévu d’organiser cet événement à Gignac l’an passé, mais nous avions – hélas – laissé passé la date limite d’inscription !

Nous réitérons donc cette année, avec le Foyer Rural qui a souhaité s’associer à nous en nous proposant les moyens techniques de Ciné-Lot et que nous remercions. Nous avons cependant préféré attendre, avant de communiquer, d’avoir l’assurance que cette manifestation pourrait se dérouler dans de bonnes conditions.

En effet, vous n’êtes pas sans savoir que le chauffage de la salle polyvalente de Gignac est en panne pour une très longue durée et que par conséquent toutes les manifestations hivernales sont annulées.

Mais grâce aux efforts conjoints du Foyer Rural, de Ciné-Lot et du Rionet, la salle de Cressensac a pu être trouvée et rendue disponible pour ce mardi 21 mars.

6 projections vont se succéder tout au long de cette journée exceptionnelle :

  • A 10 heures, deux séries de courts-métrages pour les enfants des écoles maternelles
  • A 14 heures 15, deux séries de courts-métrages pour les enfants des écoles primaires
  • A 18 heures, une série de 5 courts à destination des adultes
  • A 19 heures 30, un repas partagé sera possible pour ceux qui le souhaitent
  • A 21 heures, une deuxième série de courts à destination des adultes

Les séances enfants sont prises en charge par les écoles (les séances sont gratuites pour eux) et les séances adultes vous sont proposées au tarif spécial de 4 euros chacune.

Vous trouverez le programme complet des séances ICI en pièce jointe.

Et la bande-annonce annonce du festival ICI :

Nous vous espérons très nombreux pour ce moment festif et convivial !

Notre compte rendu du conseil municipal du 16 février 2023

Comme vous le savez certainement, depuis la réforme des règles de publicité d’entrée en vigueur et de conservation des actes pris par les collectivités territoriales à compter du 1er juillet 2022, les mairies n’ont plus l’obligation d’afficher les comptes rendus des séances du conseil municipal en mairie et sur le site Internet de la commune dans les huit jours suivant la séance. Reste obligatoire dans les huit jours, l’affichage en mairie et la publication sur le site Internet de la liste des délibérations examinées par le conseil municipal.

Concrètement, en terme d’accès aux informations pour les gignacois, cette réforme ne change pas grand-chose. En effet, l’ensemble des délibérations publiées par la mairie de Gignac est quasiment identique au contenu du compte rendu de la séance du conseil municipal auquel ces délibérations étaient à l’ordre du jour. A la différence près que les délibérations ne renseignent pas sur la répartition des décisions des votants (or à Gignac une délibération est souvent votée à l’unanimité) et que nous n’avons pas le compte rendu des questions diverses qui occupent souvent peu de place dans les conseils. Quand aux débats, très rares, ils ne sont pas retranscrits.

Notre compte-rendu propose donc ici un complément d’information au contenu des délibérations publiées sur le site de la mairie dont nous avons rassemblé les contenus sous le lien ICI.

Le dernier conseil municipal

Il s’est tenu en présence de 11 élus avec 2 absents représentés, notre 14ème élue Florence Marty étant toujours absente et non représentée.  Il y avait 3 personnes dans le public.

1-Délibération n°1 – Convention de délégation de compétence en matière d’organisation de services de transport scolaire entre la Région Occitanie et la Commune de GIGNAC – Avenant n°1 (prise en compte de l’abandon du circuit n°0043 vu l’évolution des effectifs constatée – desserte RPI Gignac-Nadaillac) ;

La commune abandonne la desserte d’Estival pour les enfants de cette commune scolarisés au RPI de Gignac-Nadaillac car la région ne Occitanie ne finance plus les transports pour ces élèves (voir notre compte rendu du CM du 06/12/2021 ICI). Dorénavant, Nadaillac prendra en charge ces transports. Aucune précision n’a été apportée sur le financement octroyé à Nadaillac pour ce faire.

2-Délibération n°2 – CAUVALDOR : Création de la société publique locale Cauvaldex pour la réalisation de prestations en faveur du développement économique et touristique ;

Les conseillers municipaux ont approuvé à l’unanimité la création d’une société publique locale Cauvaldex qui a pour vocation de se substituer à la structure associative de Cauvaldor Expansion, Agence économique et touristique de Cauvaldor.

Les conseillers municipaux des communes faisant partie de l’EPCI (établissement public de coopération intercommunale) peuvent candidater pour intégrer le CA de cette structure. Aucun des conseillers municipaux présents n’a répondu à l’appel de François Moinet pour se porter candidat.

3-Délibération n°3 – Echange de terrains sis Le Bourg rue du 45ème parallèle entre la Commune de Gignac et Madame MARCHAND Micheline : parcelle A n°1158 (propriété de la Commune) avec la parcelle A n°1168 (propriété de Madame MARCHAND Micheline) ;

Alors que cette délibération doit autoriser Madame le Maire à signer un acte d’échange de terrain nous apprenons seulement à cette occasion le projet de parking de la mairie sur une des dernières parcelles de jardins familiaux qui se trouvent à proximité du futur café commerce. La moitié de cette parcelle avait déjà été acquise par la mairie lors son achat de la maison Bastit d’en le but d’y réaliser des jardins partagés.

Au regard du préjudice que représente ce projet pour le bourg, nous consacrons un article dédié à ce sujet ICI.

4-Délibération n°4 – Restauration des vitraux et travaux sur les Eglises : Demande de subvention auprès de la Direction Régionale des Affaires Culturelles (DRAC) ;

Sur le montant du devis de 10775 € HT correspondant aux travaux des contreforts de l’église de Gignac et du remplacement de la fenêtre du 1er étage, 8000 € sont consacrés à celle-ci. Compte tenu du coût, les conseillers estiment que ce remplacement dont l’impact est purement esthétique ne devrait pas être envisagé. Madame le Maire précise que la demande de subvention n’engage à rien.

D’autre part, la mairie ne connaît pas le montant des fonds obtenus à ce jour par l’association Lo Patrimoni suite à son appel aux dons pour la restauration des vitraux et autres travaux pour les églises de Gignac et de Saint Bonnet.

5-Délibération n°5 – Demande de subvention pour le séjour au ski des élèves de l’option EPS du collège des 7 tours de Martel (2 élèves sont domiciliés sur la commune) ;

Certains conseillers indiquent que la mairie n’a pas pour vocation à répondre à ce type de demande quand d’autres font remarquer que les enfants concernés n’ont pas fréquenté l’école de Gignac et que le collège de Martel se situe hors de notre canton.

Cependant, les avis s’avèrent divergents et plusieurs élus dont madame Le Maire changent d’avis au cours du débat.  Le résultat donne 5 votes pour, 4 contre et 4 abstentions. La résolution n’est donc pas adoptée.

6-Divers;

  • Abandon du projet de la surface de pavage qui devait faire le lien entre la route principale et la place Saint Martin par crainte que les pavés se déchaussent.
  • Le SDIS ne contrôle plus et n’entretient plus les appareils de défense contre l’incendie malgré la participation qui lui est accordée par la mairie. Par conséquent une convention va être passée avec la SAUR qui interviendra pour 65 € par points à contrôler. Le contrôle se fait 2 fois par an et 12 bornes sont à contrôler soit un montant total de 1560 € par an.
  • Concernant l’appel à candidature pour la reprise du café commerce, à ce jour la mairie dispose de plusieurs contacts mais d’un seul dossier complet.
  • Deux maisons du centre bourg requièrent l’attention de la mairie de part leur vétusté (l’une menace de ruine). La mairie entame des démarches pour faire venir un expert en bâtiment.