Que deviennent réellement les vêtements que vous mettez dans les bennes ?

Nous vous proposons de visionner ici un extrait du documentaire du journaliste Hugo Clément « Où finissent nos vêtements ? » diffusé sur France Télévision.

On y apprend que « les vêtements déposés dans les bennes de collecte sont majoritairement exportés dans des pays pauvres où ils sont à nouveau commercialisés. Les plus abimés d’entre eux finissent leur voyage dans des décharges à ciel ouvert puis dans les océans. Au Bangladesh, ce sont les teintures utilisées pour les textiles qui sont déversées dans les rivières ».

En effet, alors que nous pensons faire une bonne action en déposant nos vieux habits dans des bennes de collecte, plus de la moitié d’entre-eux sont compressés, exportés et revendus à des pays pauvres… Un business mondial qui contribue à la pollution massive des rivières et des océans.

Regardez un extrait de 14 minutes de ce documentaire en cliquant dans l’image ci-dessous.

Les mégabassines en question

Qu’est-ce qu’une mégabassine ?

Un immense réservoir d’eau sur 8 à 10 hectares au beau milieu des champs, creusé à 10 ou 15 mètres de profondeur et tapissé de bâche plastique. Officiellement appelées « réserves de substitution », ces mégabassines peuvent emmagasiner jusqu’à 900 000 mètres cubes d’eau, soit l’équivalent de 360 piscines olympiques. Elles sont remplies en hiver par pompage direct dans les nappes phréatiques pour stocker l’eau et ainsi éviter de pomper celle-ci en saison chaude lorsque les nappes phréatiques et les cours d’eau sont au plus bas et que des arrêtés de crise restreignent l’irrigation. Cette technique peut paraître de simple bon sens mais cache d’autres enjeux.

Des mégabassines au service de qui et de quoi ?

Ces infrastructures agricoles très coûteuses sont réservées à l’agriculture industrielle essentiellement pour la monoculture intensive du maïs extrêmement gourmande en eau et destinée à l’élevage industriel et à l’export. Ces installations étant financées à 70 % par les pouvoirs publics, se pose la question du modèle agricole productiviste ainsi soutenu tandis que les opposants aux mégabassines défendent des pratiques agroécologiques plus respectueuses des sols et du cycle de l’eau. Ils critiquent l’accaparement de la réserve souterraine en eau par les agro-industriels pour compenser de surcroît des pratiques qui continuent à stériliser les sols. Les scientifiques dénoncent aussi les limites de ces réservoirs d’eau en surface car ils estiment l’évaporation entre 20 à 60%.

Quelle répartition de la ressource en eau ?

En se réservant l’eau des sous-sols, les agro-industriels se la privatisent en quelque sorte et en dépit de leurs voisins. Si les petits paysans, les maraîchers qui n’ont pas accès à ces infrastructures coûteuses n’ont plus d’eau, ils seront alors obligés de vendre leurs terres et il est facile d’imaginer par qui elles seront accaparées.

Les opposants voient donc en ces mégabassines un vrai danger pour la répartition de l’eau d’autant que la crise climatique pourrait bien faire de celle-ci une denrée rare. Les nappes phréatiques sont de moins en moins aptes à se recharger l’hiver et les seuils critiques sont atteints chaque année. Alors que la ressource va se raréfier en période estivale, quelle sera la répartition entre l’agro-industrie et l’eau potable pour les usagers ou même le stockage d’eau pour lutter contre les incendies ?

Le département de la Vendée a été le premier à s’équiper de mégabassines. Il en compte une trentaine en activité. La capacité de celle du Langon est de 851 000 m³ soit l’équivalent de la consommation annuelle d’eau de 15 754 personnes. Dans les Deux-Sèvres, celle de Sainte-Soline en construction, qui fait beaucoup parler d’elle, devrait avoir un volume de 720 000 m³. Une quinzaine ont été construites en Charente, une dizaine en Charente-Maritime et en Vienne, six dans les Deux-Sèvres qui en prévoit seize à l’avenir et bien d’autres projets sont en cours à travers la France notamment en Haute-Savoie pour la fabrication de neige artificielle…

La communauté scientifique est unanime: pour une bonne gestion de la ressource en eau, l’infiltration dans le sol est indispensable et il faut favoriser la création de zones humides qui fonctionnent comme des éponges. Or, ces ouvrages mettent en péril les écosystèmes dépendants des nappes phréatiques comme les cours d’eau et menacent même parfois les réserves en eau potable de la population. Le Marais Poitevin, deuxième zone humide de France, pourrait-il bientôt devoir changer de nom ?

Pour en savoir plus, le média Reporterre a consacré plusieurs articles à ce sujet comme cette interview d’un batelier du Marais Poitevin ICI ou encore cette tribune portée par des élus et 150 associations locales d’Indre-et-Loire ICI. Dans Ouest-France, un agriculteur vendéen propose une autre alternative à l’assèchement des rivières en Sud-Vendée ICI.

Et comme cette « guerre de l’eau » n’est pas prête de s’arrêter, toujours dans Reporterre, un article très éclairant ICI sur ce nouvel élément de langage, « l’écoterrorisme », issu de la lutte contre les mégabassines.

Sans oublier la croustillante chronique d’Usul et Cotentin sur la chaine de Médiapart, à visualiser ci-dessous:

Troc de plantes ce samedi à Cosnac

Notre amie Ginette invite tous les jardiniers et jardinières au TROC aux PLANTES de COSNAC le 19 novembre de 14 h à 17 h sous chapiteau.

Une intervenante animera l’après-midi « MON POTAGER SUR SOL VIVANT« 

« Avec le changement climatique, changeons et limitons notre travail du sol et protégeons nos légumes pour garder une autonomie alimentaire. »

Un nouvel avis de la Défenseur des Droits sur la question « Immigration, Asile et intégration »

Il s’agit de l’avis 22-04, envoyé au Parlement, relatif à la mission « immigration, asile et intégration » du projet de loi de finances pour 2023.

Dans cet avis, Claire Hédon souligne notamment les éléments suivants :

  • Les constats posés en 2016 d’une ineffectivité des droits des étrangers demeurent, malgré les différentes réformes législatives opérées depuis.
  • Ces constats ont été aggravés par la dématérialisation des procédures de demandes de titre de séjour.
  • Les atteintes majeures aux droits fondamentaux des étrangers se poursuivent et doivent cesser.
  • Concernant le droit au séjour des mineurs non accompagnés à leur majorité, et notamment pour ceux qui ont été confiés à l’Aide sociale à l’enfance après l’âge de 16 ans, malgré les circulaires prônant un examen bienveillant de ces demandes de titres de séjour, nous constatons qu’elles sont examinées dans un délai moyen de 2 ans sans que l’intéressé ne soit admis au séjour durant l’instruction de la demande.
  • Le placement d’enfants en centre de rétention administrative se poursuit. Or, la rétention des enfants, quelle que soit sa durée, est néfaste pour la santé et le développement des enfants. Le Défenseur des droits n’a de cesse de dénoncer cette pratique.

L’avis est complet est téléchargeable ici : https://juridique.defenseurdesdroits.fr/doc_num.php?explnum_id=21475

Rappel de la mission du Défenseur des Droits : « Le Défenseur des droits veille au respect des droits et libertés » – article 71-1 de la Constitution

Si vous pensez que vos droits n’ont pas été respectés, les équipes du Défenseur des droits vous accompagnent gratuitement. La procédure est décrite ici :  https://www.defenseurdesdroits.fr/fr/obtenir-de-laide

Une nouvelle salle de spectacle a ouvert à Terrasson !

Il s’agit de La Distillerie qui ne remplace pas l’Imagiscène mais vient proposer un programmation complémentaire.

Ecoutez-ici le reportage réalisé par France Bleu Périgord pour le lancement de cette nouvelle structure :

 

La programmation de la saison 2022-2023 s’annonce prometteuse et commence par le spectacle RACONTE-MOI LA FIN, de la compagnie Théâtre sur le Fil, proposé ce vendredi 18 novembre.

« Interprète pour les tribunaux américains dans le cadre des demandes d’asile, Valeria Luiselli permet aux enfants migrants de raconter leurs histoires et la terreur qu’il fuient. « Pourquoi êtes-vous venu aux Etats-Unis ? » commence le livre, reprenant, pour mieux les déconstruire , les 40 questions, souvent absurdes ou insensées, auxquelles tout demandeur d’asile doit répondre en arrivant au « pays de la liberté » et à partir desquelles un juge décidera si le mineur « mérite », ou non, de rester sur le territoire. »

La représentation sera suivie d’une rencontre avec Amnesty International Périgueux.

Pour en savoir plus, consultez la page Facebook de La Distillerie : https://www.facebook.com/la.distillerie24

Aurez-vous la fibre à Noël ? Heurs et malheurs d’une installation bâclée.

Lot Numérique nous informe – événement à l’appui – que le 6 octobre dernier la 100.000ème prise fibre a  été posée (l’article est ICI) – et que le pari de « fibrer » tout le département en 2022 est sur le point d’être gagné. A la bonne heure !

Prise posée oui, mais prise  fonctionnelle, c’est moins sûr…

Car justement, étonnant hasard, le 6 octobre c’est le jour où Orange est venu installer la fameuse fibre à mon domicile.

Quand je dis Orange, il faut bien sûr comprendre un sous-traitant d’Orange, en l’occurrence l’entreprise Alpha Service Telecom. Avec un nom pareil on ne peut qu’avoir confiance.

L’intervenant devait arriver à partir de midi, mais il me téléphone à 13h pour me dire qu’il ne sera là qu’à 14 mais il n’arrive finalement qu’à 15h30…

Il est jeune, sympathique, la casquette à l’envers, rien que de plus banal dans nos campagnes !

Avant qu’il ne commence quoi que ce soit, je lui explique la problématique de mon habitation, à savoir que de nombreuses pièces sont câblées en Ethernet, ce qui me permet – par l’intermédiaire d’une baie de brassage – de déplacer mes appareils à loisir sans affecter leur fonctionnement ; je lui montre l’armoire des courants faibles, je lui demande s’il connait ce système et s’il saura s’y connecter afin que je conserve toute mon installation filaire ; il me répond que « oui bien sûr, pas de problème, tout marchera comme avant ».

Je lui fais confiance car je me dis qu’après tout c’est son boulot, qu’il a certainement dû en voir d’autres et je le laisse travailler. Dramatique erreur !

Je le laisse travailler façon de parler, car je dois tout de même l’aider puisqu’il a oublié sa pince chez le précédent client, lui tenir son téléphone portable car la batterie de sa lampe frontale est à plat et tirer le câble côté rue pendant qu’il donne du mou à l’autre bout…

Dans mon armoire électrique un emplacement est prévu pour la prise optique mais il ne peut la mettre là car il n’a pas les 10 cm de rail réglementaire avec lui. Bref, il démonte l’ancienne (celle de l’ADSL) et la pousse de côté comme il peut, endommageant par là l’une de mes connexions.

Mais ensuite il se gratte la tête, car il ne sait pas où connecter la prise Ethernet qui sort de la box. Je lui montre le schéma de ma baie de brassage, j’essaye de lui expliquer le cheminement des signaux, mais plus je lui montre moins il semble comprendre.

Finalement, comme il doit bien faire quelque chose, et devant mon insistance, il me fait quelques branchements directs et sauvages sur mon serveur informatique et sur l’un de mes PC.

Je lui fais remarquer que c’est très insuffisant, que ce n’est pas du tout ce qui était convenu, mais il s’excuse platement en me disant qu’il ne connait pas ce système, que c’est trop compliqué pour lui et qu’il doit partir impérativement car il a un autre rendez-vous prévu à 17h.

Je lui demande alors de remettre au moins le système tel qu’il était avant, c’est-à-dire de rétablir l’ADSL, mais il me dit que ce n’est pas possible car il a déjà fait couper le signal…

Il s’en va alors brusquement, en oubliant son tournevis (!) et me laisse l’armoire dans cet état :

Impossible évidemment de refermer le coffret.

Il est 17h15, je n’ai plus de réseau filaire (hormis le serveur et un PC), plus de télés, plus de radios, plus d’ordis sauf ceux connectés en wifi, et la box domotique qui gère les volets, l’éclairage et les éléments de sécurité est aussi inopérante.

Je téléphone illico au 3900 pour signaler que le technicien est parti sans avoir fini son travail et que plus rien ne fonctionne : on me promet de m’envoyer un nouveau technicien dès le lendemain, vendredi 7.

Ce vendredi matin je regarde ce qu’il m’a branché, j’effectue quelques corrections de bon sens et je rétablis une partie de mes services. Mais à 11h, la nouvelle box se met en erreur et je perds absolument tout, je n’ai même plus le téléphone fixe !

Je rappelle le 3900 à l’aide de mon portable, on me confirme qu’une intervention est bien prévue ce jour mais on ne peut me préciser l’heure.

J’attends donc, les heures tournent et toujours rien. Je rappelle à 16h45, l’intervenante cherche dans son dossier et me dit qu’il y a eu une confusion d’adresse, que le technicien est parti à… Courbevoie (92) et que l’intervention est clôturée !!! Elle me débloque néanmoins la box à distance et je retrouve une partie de mes services.

Je laisse passer le week-end et le lundi matin je redemande une nouvelle intervention. Elle est programmée pour le vendredi 14, ce n’est pas possible avant. En attendant, je répare la presque totalité des branchements erronés…

Le 14, le nouveau technicien arrive comme prévu, regarde et admet que le travail n’a pas été terminé, me retire les éléments ADSL inutiles, m’arrange le câblage correctement, améliore la qualité du signal optique et referme proprement le coffret.

On teste tout mais il constate avec moi que le décodeur TV est HS, ce qui ne le surprend pas car il m’explique que tout ce nouveau matériel est en fait du matériel reconditionné.

Je pars à Brive dans l’après-midi et fait changer le décodeur. Il ne me reste plus qu’à reprogrammer manuellement les paramètres de ma box domotique sur la box Orange, car contrairement à ce qui est indiqué sur le site d’Orange, la configuration, pourtant sauvegardée de la box, est perdue « lorsque l’on change de box dans le cadre d’un changement de forfait ». Et il me faut aussi ré-appairer tous les autres équipements wifi divers et variés.

Comme vous l’avez compris, cet article n’a pas du tout vocation à vous décourager mais plutôt à vous souhaiter bonne chance pour que vous ayez la fibre à Noël !

Jean-Luc Louis

Edit du 17 novembre : après l’installation de la fibre par Orange, vous pouvez toujours changer d’opérateur : certains proposent peu ou prou la même chose pour beaucoup moins cher…

EMMAÜS Nord du Lot accueille ses premiers compagnons

En 2020, l’association créée ex nihilo a commencé son activité de recyclerie, qui constitue historiquement le cœur du mouvement Emmaüs. Après deux ans de travail d’une trentaine de bénévoles engagés, la communauté atteint son objectif premier en créant son premier emploi de Responsable de Communauté et en accueillant ses premiers compagnons début novembre.

Porteur d’une vision de société où l’humain est au cœur du système et où chacun a sa place, Emmaüs place le projet social et la solidarité bien avant la logique économique. Loin des dispositifs traditionnels de charité et d’assistanat, la possibilité pour chacun de prendre sa vie en main représente les fondamentaux pour remettre debout les accidentés de la vie. Chez Emmaüs, le travail de récupération permet de redonner valeur à tout objet et de multiplier les possibilités d’action d’urgence au secours des plus démunis. Ainsi les combats portés par l’Abbé Pierre, fondateur d’Emmaüs, de lutte contre l’exclusion sont aujourd’hui perpétués par la jeune association.

Emmaüs Nord du Lot est soutenu par d’autres associations avec qui elle a construit des partenariats à l’image de « Lot Pour Toits » (association d’hébergement et d’accompagnement social) ou de la Banque Alimentaire (association de lutte contre la précarité et le gaspillage alimentaire). De même, les dons provenant d’entreprises ou de particuliers affluent au quotidien en soutien au projet, réaffirmant qu’un monde plus Solidaire est possible.

EMMAÜS Nord du Lot est ouvert les mercredis et samedis de 14-17h.

Tél : 06-50-94-00-40
Email : projetemmaussouillac@gmail.com
Adresse : Le Platant, 46200 Pinsac

Source de l’article : RuraleTV

Retour sur le dernier Gignac Infos en rapport avec la délibération n°6 du prochain conseil municipal

Tout d’’abord bravo à l’équipe municipale pour la clarté des propos même si, sur certains sujets, nous restons un peu sur notre faim d’en savoir davantage…

 Le café-commerce :

Ben voilà, la rumeur était fondée : cela faisait plusieurs semaines que le bourg et les hameaux bruissaient d’un éventuel désistement des potentiels repreneurs du Zinc de la Quique. Pourtant, à la lecture de l’actualité publiée sur le site communal et relayée par un grand article de La Dépêche, les choses semblaient aller bon train. Mais comme on dit, nul n’est prophète en son pays ! Déjà, dégager deux salaires pour une reprise d’un commerce cela semblait osé mais là 3 salaires c’était devenu irréaliste.

Nous ne pouvons que regretter cette annulation et faire le constat repris par le rédacteur du Gignac Infos qu’il faut donc chercher ailleurs. Comme il nous est dit, d’autres candidats ont été contactés, mais après analyse ils ne correspondaient aux critères définis par l’équipe municipale. Quels critères, sans doute ceux mis en avant dans le dossier de reprise ? D’ailleurs pourquoi ne pas le re-publier ?

Quant à la suite de l’article, deux pistes sont à l’étude. Celle de l’association « mille cafés » et une piste de société coopérative.

Il semblerait maintenant, à la lecture de l’ordre du jour du conseil municipal devant se tenir demain 3 novembre, que ce soit la piste de « 1000 cafés » qui serait retenue : 5-Délibération n°6 : Café multiservices avec l’initiative 1000 cafés ;

Nous vous donnons ci-dessous quelques éléments et compléments d’informations sur le réseau « 1000 cafés » afin que vous puissiez comprendre la décision qui va être prise.

https://www.1000cafes.org/ est le site de l’opération « 1000 cafés » où vous pourrez trouver tous les renseignements et le modèle de développement de ces nouveaux cafés ruraux. Ceci étant, nous ne savons pas si nous pouvons parler d’association parce qu’il semble que « 1000 cafés » soit un des secteurs d’activités du GROUPE SOS. On parlera donc plutôt d’un réseau de cafés.

Le schéma de développement de ce réseau nous va bien, car si en premier lieu sont intéressés d’éventuels repreneurs de « café-services » et les municipalités, les habitants ne sont pas oubliés, et dans la charte de réflexion et d’installation de ces cafés, les habitants des villages sont mis au cœur du projet :

Texte issu du site 1000 cafés :

La co-construction au cœur de chaque projet de café, c’est un principe fondateur de 1000 cafés, qui vous place au centre du projet pour en dessiner les contours.

Un projet de café réussi c’est :

  • Une consultation citoyenne sur l’offre du café qui a mobilisé tout le village.
  • Des associations de la commune qui s’approprient le lieu pour créer des animations dans le café
  • Chaque habitant peut donner des idées et des pistes d’amélioration sur les offres proposées.

N’hésitez donc pas à vous rendre sur le site de ce réseau pour identifier ce que pourrait être notre nouveau commerce. Seul bémol : comme on dit « Rome ne s’est pas faite en un jour », ainsi en ira-t-il aussi de ce commerce si la candidature de la municipalité est retenue.

D’autres informations sur le groupe SOS :

Première entreprise sociale en Europe, GROUPE SOS lutte depuis 35 ans contre toutes les formes d’exclusion. Avec l’initiative 1000 cafés, GROUPE SOS vise à revitaliser l’économie et la dynamique sociale des communes rurales. Une action concrète qui prévoit la création / reprise de 1000 cafés en France et qui a pu voir le jour grâce à l’expertise et le réseau de partenaires de GROUPE SOS.

En septembre 2020, GROUPE SOS lance son nouveau secteur : GROUPE SOS Action Territoriale. Accès aux services de proximité, animation du lien social, engagement citoyen : au travers de la création de ce nouveau secteur, l’ambition du groupe est de construire des solutions pour développer et améliorer la vie locale.

3 cafés ont été ou seront ouverts sur ce modèle dans le Lot :

À Escamps : « Le café d’Escamps » – En cours d’ouverture

À Dégagnac : « Le Sécadou » – En activité

À Montgesty : « Le Montgesty » – En activité

Le Montgesty

 

Et également quelques autres précisions à apporter à la lecture de ce Gignac Infos n°44 :

Editorial (page 2) : Le fête des associations du 25 juin était organisée par le Nouveau comité des fêtes et n’avait donc rien de votive (une fête votive – ou patronale – est une fête qu’organise chaque village en hommage à son saint patron [Wikipedia]).

Rénovation énergétique (page 3) : Nous espérons que nous pourrons avoir prochainement les chiffres du DPE (Diagnostic de Performance Energétique) du bâtiment afin de vérifier que les objectifs prévus ont bien été atteints.

Elections législatives (page 5) : Christophe Proença ne portait pas l’étiquette du parti socialiste, celle-ci étant attribuée à Thierry Grossemy ; M. Proença s’est présenté « sans étiquette ».

Budget (page 6) : Nous regrettons la disparition des « graphiques et tableaux » qui apportait selon nous une visibilité plus immédiate et nous aurions également aimé avoir les évolutions en pourcentages par rapport à l’année précédente, car savoir où l’on va nécessite de savoir d’où l’on vient.

Agenda (page 20) : merci à la municipalité d’avoir annoncé notre foire aux livres du 16 octobre et notre bourse aux jouets du 27 novembre !

Réunion du conseil municipal jeudi 3 novembre

La mairie communique :

Les membres du Conseil municipal sont convoqués à la Mairie dans la salle du Conseil municipal : Le jeudi 03 novembre 2022 à 20h30.

ORDRE DU JOUR :

1-Délibération n°1 : Vote de crédits supplémentaires au budget principal sur les articles 66111 et 1641 relatifs aux échéances 2022 de l’emprunt cœur de village – Décision modificative n°4/2022 ;

2-Mise en place de deux réserves à incendie de 120 m3 à la Sotte et à Sireyjols:

Délibération n°2 : Choix de l’entreprise qui aura en charge les travaux ;

Délibération n°3 : Vote de crédits supplémentaires au budget principal sur le programme 128 – bornes à incendie – Décision modificative n°5/2022 ;

3-Délibération n°4 : Adoption du rapport sur le prix et la qualité du service public d’assainissement collectif (RPQS) 2021 ;

4-Délibération n°5 : Désignation d’un correspondant incendie et secours ;

5-Délibération n°6 : Café multiservices avec l’initiative 1000 cafés ;

6-Divers.