Donne plans de salade d’hiver – Chicorée Scarole Cornet d’Anjou –
Salade croquante qui résiste aux faibles gelées et peut rester en place tout l’hiver, s’il n’est pas trop froid, recouverte d’un voile d’hivernage.
Contact: 05-65-37-70-74
Donne plans de salade d’hiver – Chicorée Scarole Cornet d’Anjou –
Salade croquante qui résiste aux faibles gelées et peut rester en place tout l’hiver, s’il n’est pas trop froid, recouverte d’un voile d’hivernage.
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Nous pensons que ces primaires ont un réel intérêt en amont de cette importante échéance de 2022 et ceci de quelque bord politique que l’on soit.
En français, le terme « primaire » désigne quelque chose qui vient en premier. Par exemple, l’école primaire vient avant l’école secondaire ou le collège. En politique, les « primaires » ont lieu avant les élections présidentielles et permettent de départager les candidats d’un même bord politique ou d’un même parti tout en respectant un processus défini à l’avance.
Ces élections primaires pour la désignation d’un candidat donnent une légitimité à celui-ci car il devient de facto celui ou celle choisi(e) pour porter les arguments de son camp pendant la campagne électorale. Cela doit également permettre un rassemblement d’idées et donc de programme comme seule l’intelligence collective peut être porteuse. Car le candidat choisi se doit, pour garder sa légitimité, de devenir le lien entre toutes les tendances mises en avant par les participants à cette primaire ; il doit faire preuve de synthèse s’il veut recueillir les votes de l’ensemble de son camp.
C’est bien pourquoi certains d’entre nous se sont inscrits à la primaire écologiste. Cela nous aura déjà permis de comprendre les différences mais aussi ce qui rassemble ces 5 candidats à cette désignation. Nous observerons ensuite si le candidat choisi par la majorité des votants sait faire la synthèse du mouvement écologiste.
Nous considérons ces primaires comme un acte citoyen important qui nous place directement au cœur de la campagne qui se dessine. Cette primaire a également un intérêt en ce qu’elle permet de réduire le nombre des candidats d’un même mouvement et donc d’éviter un émiettement du vote correspondant.
Nous attendons avec impatience les décisions des grands partis politiques traditionnels relativement à la tenue de primaires car, comme nous venons de le faire, nous y participerons également, pour peu que nous puissions le faire comme nous l’a permis le mouvement écologiste.
Pour être complet sur ce sujet, nous vous donnons à lire ici une série d’articles du journal « Reporterre », articles présentant chacun des 5 candidats en lice.
Comme chaque mois, nous vous apportons des nouvelles de la méthanisation sur notre territoire mais aussi ailleurs par le biais de la lettre d’information mensuelle du Collectif Citoyen Lotois membre du Collectif National Vigilance Méthanisation (CNVMch).
Il y est question du coup de gueule d’un élu breton, co-constructeur du programme agricole d’Emmanuel Macron en 2017, d’une évaluation de Cauvaldor sur la méthanisation et aussi des nombreux accidents qui se sont produits cet été sur le territoire français.
Accédez à ce bulletin et à ses pièces jointes en cliquant sur les liens ci-dessous:
L’été indien semble vouloir continuer, c’est peut-être une bonne idée d’en profiter en allant passer une journée à l’écomusée de Cuzals (commune de Sauliac-sur-Célé, à une heure et quart environ de Gignac).
Ce musée de plein air, labellisé « Musée de France », s’étend sur près de 20 ha et est idéal pour partager en famille les histoires de nos campagnes. Des milliers d’objets en présentation dans différents lieux illustrent l’évolution de la vie dans la campagne quercynoise.
Vous y trouverez :
L’écomusée propose chaque jour un éventail d’animations et d’activités (programme distribué à l’accueil) :
Des journées à thème
En plus de ses expositions permanentes, le musée présente cette année une remarquable exposition temporaire intitulée « Glorieuses années 1960 ?! » (les points d’interrogation et d’exclamation sont importants).
En effet, les années 1960 représentent une période de transformations et d’optimisme, une sorte d’apogée des Trente Glorieuses. Qu’apporte la modernisation et comment est-elle vécue ? Questionner la modernité dans le Lot au tournant des années 1960, c’est questionner le changement : agriculture et vie rurale, monde domestique, moyens de communication, loisirs… L’exposition explore les différents signes d’une époque, tout en restituant l’ambiance et les couleurs au travers d’une scénographie d’objets, de documents d’époque, de supports visuels et sonores. Un parcours immersif pour interroger le monde moderne tel qu’il advient :
En couple ou en famille, vous êtes sûrs d’y passer une très belle journée !
Tous les renseignements sur le site des musées du Lot : https://musees.lot.fr/ecomusée-de-cuzals
Cinq candidats seront sur la ligne de départ du premier tour de la primaire écologiste, qui se déroulera du jeudi 16 au dimanche 19 septembre : Delphine Batho, Jean-Marc Governatori, Yannick Jadot, Éric Piolle et Sandrine Rousseau.
Ils seront départagés par un vote en ligne.
Cette primaire est ouverte à tous les citoyens de plus de 16 ans qui se seront préalablement inscrits avant le 12 septembre sur le site « lesecologistes.fr » et auront payé 2 euros.
Participer à ce vote, c’est exercer son rôle de citoyen, en pleine conscience, sans pression médiatique, et sans attendre le 10 avril 2022.
Europe Ecologie-Les Verts (EELV) comptabilise plus de 80 000 inscrits à ce jour pour ce vote.
P.S. : il va sans dire que Gignac Ensemble ne s’engage pour aucun candidat dans le cadre de l’élection présidentielle.
Nos amis de l’association Turenne Environnement ont tenu leur 26ème assemblée générale le 31 juillet dernier.
En raison de contraintes logistiques, elle s’est tenue à la mairie annexe de Sarrazac en présence notamment de Yves Gary le maire de Turenne et de Marc Rossburger le maire délégué à Sarrazac.
En dehors des formalités obligatoires (réélection de son conseil d’administration, etc.) la discussion a principalement porté sur les aménagements routiers entre le nord du Lot et le sud de la Corrèze : le président a fait une synthèse de la table ronde initiée par l’association sur le sujet qui s’est tenue le 25 février 2021 à Turenne réunissant les présidents des conseils départementaux des deux départements ainsi que les maires concernés et les représentants de nombreuses associations. L’association reste vigilante et se tient prête à agir sur le sujet au côté de la mairie de Turenne qui partage les mêmes inquiétudes, notamment concernant l’impact du contournement de Noailles sur les flux de camions. L’association se félicite également de l’excellente coordination sur le sujet avec les associations « Noailles Environnement » et « Bien Vivre à Jugeals Nazareth ».
L’association reste également vigilante sur la méthanisation et l’épandage des lisiers sur les causses au vu de la nature des sols.
Enfin, Marc Rossburger a présenté les aménagements prévus sur le bourg de Sarrazac dans les années à venir. L’association reste vigilante pour préserver le caractère authentique de ce bourg encore très préservé.
Un article un peu plus étoffé a été publié ici sur le site d’Actu Lot.
Article publié le 27 août sur le site de Mediapart : https://blogs.mediapart.fr/nestor-romero/blog/270821/tolerme-les-margoulins-en-action
Comment les nommer autrement que « margoulins » ces êtres qui n’ont cure de la beauté du monde, qui ne lèvent pas les yeux de leur porte-monnaie et qui, ce faisant, si nous n’y prenons garde, nous conduiront à l’abîme ?
Une plage à peine aménagée, accueillante, quelques pédalos et canoës, un petit restaurant sur chaque rive et des barbecues à disposition sous les frondaisons épaisses pour casser la croûte à moindre coût dans la fraîcheur bienfaisante. Et c’est tout. Et c’est bien suffisant. Mais, bien sûr, les margoulins…
C’est ainsi que je « chapôtais » un précédent billet sur l’insensé projet qui voudrait faire de ce lieu paisible, le Lac du Tolerme niché dans ce superbe Ségala lotois, un immonde parc d’attractions, une luxueuse Hôtellerie de plein air comme disent ces margoulins qui n’ont d’autre intention que celle de faire du fric.
Comme on peut le lire ici, ces margoulins assistés de quelques élus (un comble !) devraient rendre compte de l’avancement du projet ce premier septembre. Et nul doute qu’ils vont, une fois de plus, promettre monts et merveilles en termes de « retombées économiques » et de créations d’emplois comme ils l’ont fait à Souillac quand ils projetaient d’y bâtir leur absurde « Cité de la mode et du luxe » et qu’ils se heurtèrent à l’opposition résolue de citoyen(ne)s et d’élus qui les contraignit à renoncer.
Car ce sont les mêmes, l’infernal duo Liébus-Lallemand qui sont à l’origine de ce non moins absurde projet. À ce propos d’ailleurs, si l’on sait bien que Gilles Liébus, maire de Souillac, a été viré de la présidence de CAUVALDOR (communauté de communes) et de l’Assemblée départementale, on serait curieux de savoir avec quel montant d’indemnités son compère l’ex directeur de CAUVALDOR EXPANSION, Hugues Lallemand, a quitté la région après un si brillant échec.
Ces gens-là, margoulins et élus complices, ne veulent pas lever les yeux de leur mortifère « économie de l’offre », ne veulent pas voir que la planète, à force de « projets » inutiles, à force de « développement » insensé, à force de « croissance » infinie dans un monde fini, à force de stimulation du tourisme de masse, ne veulent pas voir, donc, que la planète brûle et qu’ils nous conduisent ainsi à la catastrophe.
Il convient, de toute urgence, de s’opposer à ces folies comme nous l’avons fait à Souillac, comme le font les membres du Collectif Tolerme Nature et comme le font des femmes et des hommes un peu partout en France et ailleurs.
Nous vous en avions parlé dans 2 articles datés des 30 juin et 12 juillet : le projet « Sandaya » d’un camping 5 étoiles avec un parc aquatique attenant risque de privatiser des espaces jusqu’alors publics.
Une pétition circule contre ce projet. A ce jour, plus de 500 personnes l’ont déjà signée.
Mercredi 21 juillet, la municipalité de Cressensac-Sarrazac avait convié tous les habitants de la commune à une réunion d’information portant sur l’enfouissement des lignes, la rénovation des canalisations d’eau et in fine la réfection des trottoirs le long de l’ancienne nationale 20 sur la partie allant du rond-point du bas de la commune jusqu’au parking de la superette.
Nous avons participé à cette réunion car, faute de commerces à Gignac, bon nombre de Gignacois – dont nous sommes – sont amenés à faire leurs courses dans les commerces de proximité de Cressensac.
Notre présence s’explique donc par l’envie de nous informer et de vous rapporter les informations relatives à ce chantier qui va impacter pendant presque un an nos pratiques quotidiennes comme celles des habitants de Cressensac.
Une bonne trentaine de personnes avaient répondu à l’invitation municipale, invitation envoyée par courrier à tous les habitants de la nouvelle commune (600 courriers envoyés !).
Etaient également présents Habib Fenni, maire de Cressensac-Sarrazac ainsi que plusieurs membres du conseil municipal et les représentants de toutes les entreprises intervenant sur ce chantier.
M. Fenni a ouvert cette réunion publique en présentant cet important chantier d’environ onze mois qui doit non seulement améliorer la sécurité des piétons, mais également rompre avec l’image du bourg « village rue » et offrir un nouveau visage grâce à des aménagements cassant la linéarité des trottoirs existants, l’embellissement de la place centrale et l’enfouissement de tous les réseaux. C’est aussi rendre plus pratique l’accès aux commerces et aux places de parking. Il s’agit donc, avec la construction de la future école, de deux choix forts pour ce mandat municipal. Ce chantier de par son importance a forcément un coût global élevé : 954 575 € mais bien moindre pour la commune du fait des nombreuses subventions obtenues, tant de la FDEL ( Fédération Départementale d’Energies du Lot) – 249 000 € que de l’Etat – 112 724 €, de la Région – 65 000 €, du Département – 35 000 € etc… Il restera à charge pour la nouvelle commune 198 000 € qui seront pris sur le budget général.
Suite à cette introduction, M.Fenni a donné la parole aux représentants des entreprises afin d’expliquer le phasage et le timing des travaux. Il est à noter que comme l’avaient souhaité les représentants de la municipalité, cette réunion a été très dynamique, les personnes présentes pouvant à tout moment interrompre l’orateur pour poser des questions et participer pleinement à cette présentation.
Le phasage des travaux :
Ce chantier d’une durée de 11 mois se fera en deux phases distinctes :
Vous trouverez en pièce jointe le diaporama qui a servi à la présentation de ce chantier et qui vous donnera le timing de ces deux phases.
Il est néanmoins important de noter que la 1ère partie des travaux se fera des deux côtés de la chaussée simultanément, et que pour ce faire il n’y aura plus qu’une seule voie de circulation centrale en alternat ce qui risque de provoquer quelques retenues et des difficultés de circulation sur la RD 820. Il est aussi possible de retrouver ces difficultés dans les rues adjacentes qui risquent de voir leur circulation augmenter pendant les 4 premiers mois du chantier.
Pendant et à la fin de l’enfouissement des réseaux, un remblai monocouche recouvrira ceux-ci afin de permettre un accès aux maisons et aux commerces.
Pour la deuxième phase des travaux, l’entreprise n’ayant pas encore été choisie, il est difficile et délicat d’en dire plus. Cependant, dans le diaporama joint, vous pourrez y trouver une ébauche de ce qui prévaudra.
Après cette présentation dynamique, M.Fenni a donné rendez-vous au mois de septembre pour une prochaine réunion afin de présenter le budget général de la commune et l’impact de ces travaux. Et nous l’espérons avec un peu plus de détails quant à l’aménagement et la végétalisation des trottoirs.
Il nous semble juste manquer un volet à ce chantier important pour l’avenir de Cressensac : la mobilité douce. C’est bien de sécuriser et de mettre aux normes les trottoirs pour les piétons mais quid de la possibilité de se déplacer en vélo dans la commune et le long de la RD 820 ? Ceux qui ont déjà utilisé cette voie en vélo pour se rendre du bas de la commune aux différents commerces du haut comprendront ce que nous voulons dire. Le vélo peut remplacer les déplacements courts mais il faut que cela soit rendu possible et sécurisé par des aménagements adaptés.