Projection-débat sur le climat au cinéma de Souillac vendredi 20 octobre

Le 20 octobre à 20h30 au cinéma Le Paris de Souillac, projection du film “De l’eau jaillit le feu” réalisé par Fabien Mazzocco

Synopsis : Dans le marais poitevin, des milliers de personnes sont aujourd’hui engagées dans une lutte contre un projet de méga-bassines. Comment ce territoire à l’image si paisible est-il devenu l’épicentre d’une véritable guerre de l’eau ?

Partisans ou adversaires ou sans avis sur les méga-bassines, venez parfaire vos connaissances et en discuter puisque le film sera suivi d’un débat en présence de militant.e.s écologistes.

Cette soirée vous est proposée par l’association Attac et le cinéma Le Paris.

Lien Allociné : https://www.allocine.fr/film/fichefilm-314751/critiques/spectateurs/

 

Projection-débat le 14 avril à Souillac

Voici une nouvelle soirée « film + débat » organisée au cinéma « Le Paris » de Souillac.

À l’heure des mobilisations sociales contre la réforme des retraites, ce sera l’occasion de revenir sur l’origine et la création de la Sécurité Sociale.

Il y a 75 ans, les ordonnances promulguant les champs d’application de la sécurité sociale étaient votées par le Gouvernement provisoire de la République. Un vieux rêve séculaire émanant des peuples à vouloir vivre sans l’angoisse du lendemain voyait enfin le jour.

Le principal bâtisseur de cet édifice des plus humaniste qui soit se nommait Ambroise Croizat. Qui le connait aujourd’hui?

75 ans plus tard, il est temps de raconter cette belle histoire de «  la sécu ». D’où elle vient, comment elle a pu devenir possible, quels sont ses principes de base, qui en sont ses bâtisseurs et qu’est-elle devenue au fil des décennies ?

Au final, se dresseront en parallèle le portrait d’un homme, l’histoire d’une longue lutte vers la dignité et le portrait d’une institution incarnée par ses acteurs du quotidien.

Le film sera présenté par Réseau Salariat Lot qui animera également le débat qui suivra.

Réseau Salariat est une association d’éducation populaire qui réunit des travailleuses et des travailleurs de tous horizons : salarié.e.s d’associations, d’entreprises et de la fonction publique, syndicalistes, mais encore retraité.e.s, entrepreneuses et entrepreneurs, chômeuses et chômeurs, parents et étudiant.e.s.

Encore un bon film à voir à Souillac !

Sur la route de Briançon, la voiture de David percute un jeune exilé poursuivi par la police. Suivant son instinct, David le cache dans son coffre et le ramène chez sa compagne Gabrielle qui vit avec ses deux enfants. Bouleversé par le destin de cet adolescent, David s’engage à l’aider coûte que coûte.

Réalisé par Emilie Frèche
Avec Benjamin Lavernhe, Julia Piaton, Bruno Todeschini, Catherine Hiegel, Luna Bevilacqua

Durée : 1h38. – Genre : Drame

Attention : séance unique vendredi 20 janvier à 20h30.

 

BAREME « ALLOCINE »

Film documentaire + débat le 14 janvier à Souillac

Une soirée « film + débat » organisée dans le cadre du partenariat entre Attac Lot et le cinéma Le Paris de Souillac.

Gambarô (Courage ! en japonais).
Un film de Alain Saulière et Thierry Ribault – co-produit par les Ateliers du passeur et CNRS Images (2014, 51 minutes)

Dans le film Gambarô, les réalisateurs ont recueilli la parole de personnes qui, loin de se positionner comme des victimes, ont adopté des postures qui sont le fruit d’une mûre réflexion. Ils sont les survivants d’une catastrophe nucléaire. Dans cette méditation sur Sisyphe, sur la relation de l’individu à l’Etat, sur la résistance et la soumission, sur le déni et sur la signification profonde du fait d’être « sauvé », c’est bien la menace qui constitue un des grands thèmes du film : celle que le désastre nucléaire fait peser sur ce qu’il y a encore d’humain en l’homme.

Le film Gambarô a reçu le Prix du Fukushima Film Festival Our Planet-TV

Thierry Ribault est économiste et chercheur au CNRS.
Il a travaillé sur les modalités d’emploi dans les activités de service avec une perspective de comparaison internationale.
Chercheur au laboratoire Clersé à l’Université de Lille, il contribue à une nouvelle sociologie politique de la connaissance et de l’ignorance en prenant le nucléaire comme champ d’étude.
Il a été, de 2013 à 2016, responsable scientifique du Laboratoire international associé du CNRS-InSHS « Protection humaine et réponses au désastre – Soin intensif en sociétés industrielles », en partenariat avec l’Université Doshisha à Kyoto et l’Université de Fukushima.

Pour aller plus loin, lire ICI.

Samedi 29 octobre à Souillac : conférence de Thierry Brugvin sur la Relocalisation solidaire

Venez nombreux assister à une conférence – organisée par Attac Lot – portant sur un sujet extrêmement important pour notre vie quotidienne :

La relocalisation solidaire, écologique, économique et démocratique

Au cinéma Le Paris (avenue du général De Gaulle) le samedi 29 octobre à 18h

Thierry Brugvin est Docteur en Sociologie Politique et membre du Conseil Scientifique d’Attac

La crise générée par la pandémie du Covid 19 a révélé le besoin criant de plus de relocalisation, à cause du manque d’autonomie économique des Nations, générée par la mondialisation libérale. Cette dernière a conduit à une dérégulation excessive, une perte de souveraineté des Etats et de leurs peuples, entrainant un chaos socio-économique, culturel et démocratique, en particulier dans les nations les plus pauvres. À cela s’ajoute un renforcement de la crise écologique avec la croissance des transports internationaux. Cependant, une politique inverse peut conduire à une relocalisation nationaliste xénophobe, égoïste, ou guerrière.

Pour éviter ces deux excès, la relocalisation écosolidaire recherche à la fois la solidarité (nationale et internationale), la préservation de l’écologie, de l’autonomie économique, culturelle et gouvernementale ainsi que davantage de démocratie.

L’ouvrage de Thierry Brugvin présente de nombreuses propositions concrètes pour la mise en œuvre de la relocalisation, telles que l’économie de proximité, les monnaies locales, les villes à taille humaine écologiquement soutenables, la décentralisation politique… Ou encore, un système de préférence généralisé (SPG), qui vise notamment à éviter les dérives du protectionnisme déguisé, telle la clause sociale, qui peut nuire aux pays les plus pauvres. Rares sont les ouvrages qui présentent la relocalisation de manière plurisectorielle. Or, c’est indispensable à une compréhension et à une politique de relocalisation cohérente.

Souillac : Lancement de Résurgence VI

Après « Infinie Liberté » fin 2021, une nouvelle exposition revient à Souillac dans le cadre de Résurgence, le festival automnal de la Communauté de communes Causses et Vallée de la Dordogne.

Pour sa sixième édition, Résurgence nous invite à plonger dans les profondeurs terrestres précurseurs de nombreux imaginaires. Cette intimité avec la Terre Mère questionne nos sentiments, sorte d’introspection de soi et des autres.

L’exposition collective d’art contemporain « Profonde Intuition » présentée à la salle Saint-Martin de Souillac est inspirée par le fonds La Forge – Marie Anne Lacoste-Valat, témoin des découvertes souterraines d’Armand Viré et ses confrères. Elle est constituée d’œuvres prêtées par le Frac Nouvelle-Aquitaine MÉCA, les Abattoirs, Musée – FRAC Occitanie, l’Artothèque du Lot, les collectionneurs Daniel Bost et Dominique Chambon, la collectionneuse Evelyne Deret ainsi que d’autres collectionneurs pour des prêts d’objets de collection.

Vernissage le jeudi 29 septembre à 18 h sur le parvis de la salle Saint-Martin à Souillac.

Ouvert (salle Saint-Martin) du mercredi au dimanche du 29 septembre au 7 novembre de 14 h à 18 h 30 puis du 8 au 27 novembre de 14 h à 17 h.

Le Festival Résurgence, c’est aussi une exposition historique itinérante La Forge, découvertes et innovations aux XIXème siècle et de nombreuses actions culturelles – visites, conférences, ateliers, concerts, ciné-débats, lectures, rencontres – sur l’ensemble du territoire.

A NOTER: le festival inclut Les Journées Portes Ouvertes des Ateliers d’Artistes les samedi 15 et dimanche 16 octobre, Gignac y sera représenté (à découvrir dans un prochain article).

Le Festival Résurgence se déroulera du 29 septembre au 27 novembre, programme complet ICI

Mercredi 1er juin à Souillac, projection du film « À la fin sera l’horizon » en présence du réalisateur et de l’artiste

Mercredi 1er juin  18 heures au cinéma le Paris aura lieu la projection du film « À la fin sera l’horizon » en présence du réalisateur Ros Balthazar et de l’artiste peintre Thierry Carrier.

Il s’agit d’un beau court-métrage docu/fiction illustrant l’univers du peintre.

Cet artiste, né en 1973 à Bort Les Orgues, vit aujourd’hui dans le Lot. Admis aux Beaux-Arts de Toulouse, il quitte néanmoins cette formation « non conforme à ses attentes ». De 2000 à 2004, il devient assistant technique au FRAC Auvergne de Clermont-Ferrand. En 2005 il travaille 3 mois comme assistant technique pour le montage de l’exposition « llya Kabakov » au Musée d’art Moderne et Contemporain des Abattoirs de Toulouse. Depuis 2006, il est Affilié à la Maison des Artistes.

Voici comment l’artiste parle de son travail : « Aujourd’hui je m’applique à pratiquer, par une lecture sensible, un art « intelligible ». Les personnages représentés dans mes toiles, (qui sont souvent ma propre représentation) ne sont en aucun cas ancrés dans un espace géographique reconnaissable. Les tableaux sont sans titre et par cela, ne remplissent pas les codes habituels du travail d’un portraitiste. On se retrouve devant différentes mises en situation d’un état, un monde de silence, une représentation dépouillée de l’Homme, un être en suspend et insondable, une peinture reflétant ma propre aspiration au silence ».

Chloé Cailleton et Leïla Olivesi en concert à Souillac ce samedi 14 mai

L’actualité culturelle est d’une grande richesse ce week-end puisque le célèbre duo de jazz Chloé Cailleton – Leïla Olivesi se produira salle du Bellay ce samedi à 20h30. Ce sera cette fois-ci dans le cadre du programme du Théâtre de l’Usine de Saint-Céré.

« Ce duo piano-chant suscite des émotions musicales et poétiques intenses. La pianiste et compositrice Leïla Olivesi (Prix Ellington Composers) a créé un univers unique et chatoyant qui traverse New-York, les chansons intemporelles de Broadway, les déserts africains et la mer Andaman entre l’Inde et la Thaïlande. »

Plus d’info ICI sur le site de Souillac-en-Jazz.

« L’épicerie culturelle » à Souillac le 6 mai ainsi que le 7 à Gramat et Saint-Céré

Après une première tournée à Sousceyrac-en-Quercy en septembre 2021, le camion art’zimuté reprend la route pour de nouvelles aventures artistiques et populaires !

Les 6 et 7 mai, l’association « Art’Zimute » accueille la compagnie « Action d’Espace » avec le spectacle Les fils des hommes, théâtre de rue, en déambulation dans l’espace public.

Cette pièce raconte, au travers de témoignages d’enfants de Harkis, Pieds Noirs, Fellagas, la guerre d’Algérie et le souvenir qu’elle a laissé. La compagnie est reconnue pour sa créativité en espace public et la spécificité de son rapport au spectateur. Un spectateur debout, immergé au cœur de l’écriture. Une danse qui ouvre l’espace.

Le flyer complet avec tous les détails est ICI.

Cinéma à Souillac vendredi 7 janvier

Vendredi 7 janvier à 20h30, au cinéma « Le Paris », vous sera projeté le film « La Bataille de la Plaine » de Sandra Ach, Nicolas Burlaud & Thomas Hakenholz. Cette projection est organisée en partenariat avec le comité ATTAC Souillac.

Ce film retrace le récit d’une lutte autour d’un projet de requalification urbaine de la Plaine à Marseille.

Synopsis :
Marseille, une Ville d’Europe comme bien d’autres.
La Plaine, un quartier bouillonnant, une grande place, un marché historique et populaire.
Une bataille tumultueuse entre d’un côté les services d’urbanisme de la mairie, déterminés à mener un important programme de ”requalification” du quartier. De l’autre, une partie des habitant·e·s, qui refusent cette opération de gentrification, et réclament d’être associé·e·s aux décisions. Cette histoire épique dure 3 ans et se termine brutalement par l’invraisemblable construction d’un mur en béton de 2m50 de haut tout autour de la place.
La télévision du quartier, empreinte des récits de soulèvements passés, outil de contre-propagande tout au long de cette bataille, refuse de s’arrêter au constat d’une défaite et s’interroge. Le cinéma peut-il raconter ce qu’on est sûr·e·s d’avoir vécu et qui n’apparait pas dans le récit des vainqueurs ? Comment faire germer pour demain des imaginaires politiques enthousiastes sur lesquels les autres s’appuieront ? Convoquant les Communes Libres de 1871, leur rage joyeuse et enflammée, une écriture singulière s’empare alors de la fiction. Pour faire de ce combat collectif une aventure humaine victorieuse, une autre façon de fabriquer la ville et le monde s’entrevoient.

Le site du film et la bande annonce ICI.

Comme d’habitude, covoiturage possible, contactez-nous !