Bourse aux jouets: une initiative réussie !

Les déposants et les visiteurs étaient au rendez-vous ce week-end du 27 et 28 du novembre. Grâce à eux et au dynamisme des bénévoles de l’association, la première édition de notre bourse aux jouets à la salle des fêtes de Gignac a été un succès.

Des jouets, des jeux en veux-tu en voilà !

La formule dépôt-vente s’est avérée un bon choix. Durant toute la journée du samedi, nous avons accueilli les déposants qui pour la plupart sont arrivés chargés de caisses de jouets variés et de belle qualité. Tant et si bien, qu’une dizaine de participants a suffit pour proposer une offre conséquente de jeux, jouets en très bon état. Nous remercions chaleureusement ces personnes pour leur contribution. Ainsi, c’est environ 400 jouets qui ont été préparé le samedi pour être exposés le lendemain à la salle des fêtes.

Une offre à rendre jaloux les lutins du Père Noël !

Le dimanche, après une matinée de préparation dans la bonne humeur, la salle des fêtes de Gignac donnait un avant goût des fêtes de Noël avec ses guirlandes lumineuses, son sapin « durable » en bois de bouleau et ses étalages de jouets. Ceux-ci occupaient la totalité des tables disponibles avec une présentation soignée par tranches d’âge et type de jeux (voir la petite vidéo publiée le jour de la bourse sur ce site pour apprécier l’étendue du choix proposé). Cette manifestation était résolument sous le signe de l’anti-gaspi solidaire car elle permettait d’acquérir des jouets de qualité et en très bon état pour des sommes tout à fait modestes. D’ailleurs, nombre de visiteurs ne s’y sont pas trompés et ont pu remplir leur hotte. Les enfants qui ne croient plus au père Noël se sont aussi laissés tenter, sans oublier les adultes qui se prenaient à rêver en admirant les jouets collector.

L’école avait son stand 

Les écoles de Gignac et de Nadaillac ont participé à l’événement grâce à une collecte de jouets effectuée en amont auprès des familles des enfants scolarisés. La directrice de l’école de Gignac tenait le stand réservé aux écoles et la vente des jouets était au profit de la coopérative scolaire.

Et encore le lundi…

Nous retrouvions nos déposants le lundi en fin de journée pour la restitution des invendus et la remise des gains des ventes. L’occasion de les remercier encore de leur participation et de leur donner rendez-vous à l’année prochaine.

Un bilan très positif pour les bénévoles de l’association qui ont encore gagné en efficacité et en fluidité dans l’organisation de cette deuxième manifestation importante après la Foire aux livres. Cette bourse leur a une nouvelle fois permis de partager de bons moments ensemble.

Un grand merci aux nombreux gignacois qui se sont déplacés pour acheter leurs jouets de Noël. Ceci ne faisant que renforcer notre volonté de proposer de nouvelles activités aux habitants de notre commune.

Nos comptes-rendus des conseils municipaux d’octobre et de novembre

Jusqu’à présent nous avions toujours rédigé un compte rendu écrit et objectif après chaque conseil municipal, vous donnant ainsi des compléments d’informations, notamment en ce qui concerne le dernier point de chaque ordre du jour, c’est-à-dire la partie « questions diverses » car c’est ce qui se révèle régulièrement le plus intéressant et qui est le moins traité dans les PV municipaux.

Néanmoins nous nous sommes demandés si ce travail avait un quelconque intérêt relativement aux conseils du 2 octobre et du 8 novembre, en effet, le conseil du 2 octobre a été expédié en 35 minutes : une performance !

Et celui du 8 novembre devait surtout traiter du lotissement du Clou Del Pech. Ces deux conseils étaient également suivis de la 1ère réunion publique de l’équipe municipale où nous pensions apprendre d’autres choses que ce que nous avions entendus et lus sur ces conseils. Si vous nous avez bien suivis ce fut loin d’être le cas.

Néanmoins, après avoir relu nos notes, voici quelques précisions qui pourraient avoir leur importance dans les projets municipaux à venir.

Conseil municipal du 2 octobre

Point 1 et 2 : sauf mauvaise compréhension de notre part, il a été annoncé qu’un lot serait déjà vendu et un autre en phase d’être vendu.

Point 3 : bien que Madame la Maire nous annonce que le projet « cœur de village » fera l’objet de discussions et de propositions ouvertes aux gignacois quant à son contenu, l’affaire semble pour le moins déjà très engagée. En effet l’achat du terrain référencé section A n°1262 est acté de façon à permettre l’échange avec le terrain section A n°1496 en bas de la place de l’église pour y construire un parking ; coût de l’opération : à minima 23 000 € pour l’achat du terrain sans compter son aménagement.

Pour rappel, il nous semble que la place de l’église a déjà fait l’objet d’un aménagement « cœur de village » sous une précédente mandature et que plusieurs dizaines de milliers d’euros ont été dépensés pour rouvrir la ruelle le long de l’église, ruelle qui devait permettre aux habitants du bourg d’aller garer leur(s) véhicule(s) sur le parking de la salle des fêtes qui, du coup, se trouvait à seulement 100 m de cette place. Nous nous souvenons même que ceci fut officiellement demandé aux gignacois lors d’une réunion publique organisée par notre ancien maire, Eugène Labroue.

A priori cela fut sans suite quant on voit le nombre de voitures garées sur la place de l’église !

Point 5 : à force de fragmenter les opérations de travaux relatifs au bâtiment de l’ancienne mairie pour ne pas être dans l’obligation d’appliquer la procédure des marchés publics, l’équipe municipale nous a un peu perdus en route. En effet le conseil a validé un devis pour isolation du 1er étage alors que nous pensions que tous les devis avaient déjà été validés lors du dépôt du projet pour la demande de subvention dans le cadre du plan France Relance.

Quoi qu’il en soit, nous vous ferons prochainement un point complet à ce sujet.

Conseil municipal du 8 novembre

A été abordé pendant ce conseil le coût des travaux pour viabiliser les terrains du Clou Del Pech pour un montant global de 60 348 € HT.

Nous ne reviendrons pas sur le détail de ceux-ci que vous pouvez trouver dans le PV du conseil ; néanmoins il a été annoncé que cette opération générerait un certain gain pour la commune si les terrains se vendent aux prix annoncés.

Nous pouvons pourtant regretter que ces constructions ne soient pas raccordées au réseau d’assainissement de la station d’épuration communale comme ce fut déjà le cas lors de la vente des terrains le long du chemin menant au moulin…

Questions diverses :

  • 135 questionnaires relatifs au devenir de l’ancien multiple rural ont été renseignés par les gignacois. En premier lieu nous tenons à rappeler l’ancienne destination de ce commerce : celui d’un lieu où les habitants pouvaient faire leurs courses au quotidien, commerce qui fonctionnait aussi grâce au passage du camion magasin dans tous les hameaux de la commune. A priori ces questionnaires ont été dépouillés (par qui ?) et le compte-rendu sera fait dans le Gignac Info à venir.
  • Le projet de DETR 2022 devrait porter sur l’aménagement de la RD 15 et sur la réfection des trottoirs du bas du bourg.

 

Annexes :

PV de la réunion du CM du 2 octobre 2021

PV de la réunion du CM du 8 novembre 2021

Le Centre Social et Culturel du Rionet menacé ?

Le Rionet communique :

Ce jeudi 18 novembre s’est tenu à Cazillac le 1er Conseil d’Administration de l’Association Multi-Rencontres du Rionet, faisant suite à l’Assemblée Générale d’octobre dernier.

Une équipe qui s’est enrichie de 4 nouveaux administrateurs tous habitants du territoire. Cependant, l’heure n’était pas à la fête, et les mines étaient plutôt graves. En effet après un tour de table visant à faire la connaissance de l’équipe, la présidente a tenu à informer les 16 membres de la situation financière : si le résultat de l’année 2020 a été tout juste équilibré, notamment grâce aux aides de l’Etat pendant les périodes de chômage partiel, il n’en sera pas de même pour l’année 2021, avec un important déficit à craindre (entre 30000 et 40000€). Il faut donc rapidement s’interroger sur la capacité de l’association à poursuivre l’ensemble de ses activités.

En effet, l’association propose de nombreux services aux habitants, certains très connus : les crèches, l’accueil de loisirs (mercredi et vacances), les camps d’ados, le transport scolaire et les activités adultes. Et d’autres beaucoup moins connus : les 3 points d’accompagnement administratif, les transports solidaires vers l’aide alimentaire, les transports domicile-magasin pour les personnes âgées isolées, l’accompagnement à la parentalité, les ateliers parents-enfants, l’aide aux devoirs, les animations intergénérationnelles, les conférences, les ateliers numériques et les ateliers mémoire pour les anciens, les sorties culturelles, les ateliers écolos, l’aide au départ en vacances, la distribution de tickets sport… Autant d’activités discrètes qui répondent à des besoins précis des habitants à des moments particuliers de leur vie, qui relèvent de l’Animation de la Vie Sociale et qui sont propres au fonctionnement d’un Centre Social.

Pour bien comprendre la situation actuelle, il convient de savoir que l’association porte depuis 10 ans un agrément Centre Social délivré par la Caisse d’Allocations Familiales du Lot. Cet agrément, qui est à renouveler au 1er janvier 2023, permet de reconnaitre l’intérêt collectif des actions menées par la structure Centre Social et cadre son organisation. Le fonctionnement des équipements (crèches et accueils de loisirs) est co-financé par les familles, les partenaires et les collectivités dont c’est la compétence ; les charges liées aux actions à caractère social et à leur pilotage, ne sont quant à elles, financées que pour une partie par les partenaires dans le cadre de l’agrément. Et aujourd’hui, malgré quelques aides ponctuelles, il devient impossible pour l’association d’assumer le reste à charge : les subventions actuelles ne suffisent plus et le recours aux appels à projets ne garantit pas un financement pérenne.

La question qui s’est posée jeudi soir à l’occasion des premiers travaux menés par le nouveau Conseil d’Administration a donc été la suivante : dans quelle mesure le fait de renoncer à l’agrément Centre Social (et par conséquent à ses activités propres, à ses charges et à ses financements propres) permettrait-il à l’association de retrouver un fonctionnement sain, sûr et pérenne ? La question subsidiaire étant : quel effet direct aurait l’arrêt de ces activités sur l’emploi, pour cette structure qui rappelons-le fait travailler actuellement 53 personnes (soit 38 équivalents temps plein), mais aussi sur le bien-vivre des habitants d’un territoire vieillissant, à l’habitat dispersé et aux services publics plutôt réduits ?

Les administrateurs vont donc s’organiser rapidement pour que la réflexion se poursuive dans les semaines qui viennent, afin de permettre une prise de décision quant à l’avenir du Centre Social du Rionet.

Tramayes, un exemple de transition énergétique

Tramayes (Saône-et-Loire), un village de Bourgogne, est en pleine transition énergétique. En dix ans, cette commune rurale a divisé sa consommation d’énergie par trois.

Tramayes est un village comme il en existe beaucoup en Bourgogne. La commune est en pleine transition énergétique. Panneaux photovoltaïques avec leur compteur d’électricité produite, bornes de recharge pour véhicules… Derrière tous ces changements, il y a un maire, Michel Maya, élu depuis 26 ans par les 1 000 habitants de la commune. L’énergie est une obsession pour cet ancien ingénieur, qui veut rendre son village plus autonome. Plus propre aussi, en le libérant des énergies fossiles.

L’histoire a commencé dans une chaufferie bois, qui permet de chauffer « tous les bâtiments municipaux, l’Ehpad, l’hôpital, et une soixantaine de logements de particuliers », précise Michel Maya. Pour créer ce réseau de chaleur, 1,5 millions d’euros ont été nécessaires, financés par des subventions et un prêt que les factures des usagers remboursent. Le bois a ainsi remplacé le fioul, très polluant. Il permet de réduire de 95% les émissions de carbone. Pour baisser les consommations dans la commune, la mairie a également mis l’accent sur l’isolation des bâtiments. En dix ans, la municipalité a divisé sa consommation électrique par 3,5, notamment grâce à l’extinction de l’éclairage public après 23 heures.

Source : France Info TV

Prochaine réunion du conseil municipal ce lundi 6 décembre à 20h30

La mairie de Gignac communique :

Ordre du jour de la séance du Conseil municipal du lundi 06 décembre 2021 à 20h30

MM les membres du Conseil municipal sont convoqués à la Mairie dans la salle du Conseil municipal :Le lundi 06 décembre 2021 à 20h30

Gignac, le 01/12/2021

Le Maire, Solange OURCIVAL

ORDRE DU JOUR :

  1. Délibération n°1 : Règlement intérieur du S.M.E.C.M.V.D. (Syndicat des eaux) – Participation des Communes aux travaux sur réseau ;
  2. Délibération n°2 : Demande de subvention au titre de la DETR 2022 (Dotation d’Equipement des Territoires Ruraux) ;
  3. Délibération n°3 : Participation de la Commune d’Estivals relative aux frais de scolarité et aux frais de transport scolaire pour l’année 2020-2021 ;
  4. Délibération n°4 : Prise en charge par la collectivité de la participation au transport scolaire 2021-2022 d’un montant de 195€ par enfant pour les élèves d’Estivals concernés uniquement par le ramassage scolaire effectué par la Commune de Gignac ;
  5. Délibération n°5 : Inscription au Plan Départemental des Itinéraires de Promenade et de Randonnée (PDIPR) de chemins ruraux traversant le territoire de la commune – Actualisation ;
  6. Délibération n°6 : Décision modificative – Vote de crédits supplémentaires au budget principal sur le programme 119 « Gros travaux divers » ;
  7. Divers.
 

Peyrelevade, un village qui tend la main aux migrants

Cet article vous donne un complément d’informations sur Peyrelevade qui fait l’objet du prochain ciné-débat à Meymac (voir notre article précédent)

À Peyrelevade, petit village de Corrèze, les demandeurs d’asile sont les bienvenus grâce à une tradition bien ancrée de solidarité et d’entraide.

« À Peyrelevade, je n’ai jamais entendu d’insultes ou ressenti de rejet de la part des habitants », assure Babiker, un Soudanais de 27 ans. Originaire du Darfour, région limitrophe du Tchad où une guerre civile sévit depuis 2003 provoquant l’exode d’au moins un million de personnes, il a demandé en France le statut de réfugié. En attendant, il vit à Peyrelevade, petit village situé sur le plateau de Millevaches, en Corrèze, où il se sent enfin en sécurité.

Du côté des quelque 800 habitants de la bourgade, même sérénité. Ils semblent avoir accueilli sans hostilité l’ouverture du Centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) en avril 2015 et de ses 70 habitants. « Cela se passe plutôt bien, explique Philippe Coutaud, le maire (divers gauches) du village. Tout le monde se dit bonjour et dans l’ensemble les demandeurs d’asile sont plutôt bien acceptés par la population. »

Les commerces ont trouvé de nouveaux clients, et les écoles, de nouveaux élèves. D’ailleurs, souligne le maire, « leur arrivée au village a permis de sauver une classe ». Sur les 55 enfants (maternelle et primaire) que compte l’établissement scolaire, une dizaine d’entre eux vivent au CADA. « Les enfants s’adaptent vite et sont demandeurs. Ils sont vraiment heureux d’aller en classe », poursuit l’élu.

La suite de l’article est à lire ICI.

Et dans le Nord-Lot, on en pense quoi de ce type d’initiatives ?

 

Ciné-débat à Meymac jeudi 9 décembre

Jeudi 9 décembre, au cinéma Le Soubise, le Pays d’art et d’histoire des Hautes Terres Corréziennes et de Ventadour propose un ciné-débat autour du film « Notre Exil à Peyrelevade » en présence des réalisateurs et de Télémillevaches.

« Corrèze, hiver 2019. Marjane Jafari et Cyril Mukendi, venant de l’Iran et du Congo Kinshasa, résident au Centre d’accueil pour demandeurs d’asile de Peyrelevade. Entre les rêves et la précarité qu’offre la France dans l’attente d’un hypothétique visa, leur caméra part en quête du bonheur auprès de celles et ceux qui partagent le même sort. »

« Un film unique en son genre, réalisé par deux personnes exilées, accompagnées par Télé Millevaches. »

Infos pratiques : 18h30 / 4€.

Lot Arts Vivants, la lettre d’info de novembre 2021

Nous relayons ci-dessous un extrait de la dernière lettre d’info de Lot Arts Vivants que nous avons reçue.

C’est avec plaisir que nous ouvrons ce mois de novembre avec la résidence au collège d’Istrie de Prayssac qui accueille la compagnie R.A.M.a autour du thème du « Vivre ensemble », en lien avec la diffusion du spectacle « My (petit) Pogo » de Fabrice Ramalingom.
Lot arts vivants œuvre également à développer la visibilité des compagnies lotoises. Elle organise chaque année, en partenariat avec les saisons culturelles, une journée professionnelle dédiée aux compagnies lotoises afin de leur donner l’occasion de présenter leur projet, mais aussi d’échanger avec les organisateurs d’évènements culturels. Cette journée se déroulera cette année à la salle l’Arsénic de Gindou, le jeudi 18 novembre, en partenariat avec la communauté de communes Cazals Salviac.
Je vous invite à découvrir les actualités de ce mois proposées par l’agence départementale pour le spectacle vivant.

Catherine Prunet, présidente de Lot arts vivants – vice-présidente en charge de la culture, de l’éducation et de la jeunesse du Département

Pour consulter la lettre d’information dans sa totalité ainsi que l’agenda des manifestations, cliquez simplement ICI.

Une belle exposition à la Forge de Souillac

Durant une semaine, du 27 novembre au 5 décembre, l’association La Forge au Fil du Temps ouvre ses portes à trois artistes locaux. L’occasion de s’imprégner de ce lieu hors du temps et de se laisser aller à la rêverie à travers le cheminement singulier de chacun de ces artistes. Cette exposition a le mérite d’avoir osé le mélange éclectique des sculptures en équilibre de Christophe Cayla, des visages de pierre et de sable de Léloi et des peintures humoristiques et surréalistes de Patricia Neal. 

Nous vous encourageons à venir découvrir les dernières créations de Christophe Cayla dont nous apprécions tout particulièrement la sensibilité et le travail poétique. Artisan de la matière, c’est un artiste qui sait jouer du déséquilibre, ses sculptures mobiles de fer et de bronze défient la gravité, accompagnent de délicates silhouettes prêtes à l’envol…

       

Pour visiter les créations de Christophe Cayla cliquez ICI

Celles de de Patricia Neal ICI et de Léloi ICI