Tramayes, un exemple de transition énergétique

Tramayes (Saône-et-Loire), un village de Bourgogne, est en pleine transition énergétique. En dix ans, cette commune rurale a divisé sa consommation d’énergie par trois.

Tramayes est un village comme il en existe beaucoup en Bourgogne. La commune est en pleine transition énergétique. Panneaux photovoltaïques avec leur compteur d’électricité produite, bornes de recharge pour véhicules… Derrière tous ces changements, il y a un maire, Michel Maya, élu depuis 26 ans par les 1 000 habitants de la commune. L’énergie est une obsession pour cet ancien ingénieur, qui veut rendre son village plus autonome. Plus propre aussi, en le libérant des énergies fossiles.

L’histoire a commencé dans une chaufferie bois, qui permet de chauffer « tous les bâtiments municipaux, l’Ehpad, l’hôpital, et une soixantaine de logements de particuliers », précise Michel Maya. Pour créer ce réseau de chaleur, 1,5 millions d’euros ont été nécessaires, financés par des subventions et un prêt que les factures des usagers remboursent. Le bois a ainsi remplacé le fioul, très polluant. Il permet de réduire de 95% les émissions de carbone. Pour baisser les consommations dans la commune, la mairie a également mis l’accent sur l’isolation des bâtiments. En dix ans, la municipalité a divisé sa consommation électrique par 3,5, notamment grâce à l’extinction de l’éclairage public après 23 heures.

Source : France Info TV

Prochaine réunion du conseil municipal ce lundi 6 décembre à 20h30

La mairie de Gignac communique :

Ordre du jour de la séance du Conseil municipal du lundi 06 décembre 2021 à 20h30

MM les membres du Conseil municipal sont convoqués à la Mairie dans la salle du Conseil municipal :Le lundi 06 décembre 2021 à 20h30

Gignac, le 01/12/2021

Le Maire, Solange OURCIVAL

ORDRE DU JOUR :

  1. Délibération n°1 : Règlement intérieur du S.M.E.C.M.V.D. (Syndicat des eaux) – Participation des Communes aux travaux sur réseau ;
  2. Délibération n°2 : Demande de subvention au titre de la DETR 2022 (Dotation d’Equipement des Territoires Ruraux) ;
  3. Délibération n°3 : Participation de la Commune d’Estivals relative aux frais de scolarité et aux frais de transport scolaire pour l’année 2020-2021 ;
  4. Délibération n°4 : Prise en charge par la collectivité de la participation au transport scolaire 2021-2022 d’un montant de 195€ par enfant pour les élèves d’Estivals concernés uniquement par le ramassage scolaire effectué par la Commune de Gignac ;
  5. Délibération n°5 : Inscription au Plan Départemental des Itinéraires de Promenade et de Randonnée (PDIPR) de chemins ruraux traversant le territoire de la commune – Actualisation ;
  6. Délibération n°6 : Décision modificative – Vote de crédits supplémentaires au budget principal sur le programme 119 « Gros travaux divers » ;
  7. Divers.
 

Peyrelevade, un village qui tend la main aux migrants

Cet article vous donne un complément d’informations sur Peyrelevade qui fait l’objet du prochain ciné-débat à Meymac (voir notre article précédent)

À Peyrelevade, petit village de Corrèze, les demandeurs d’asile sont les bienvenus grâce à une tradition bien ancrée de solidarité et d’entraide.

« À Peyrelevade, je n’ai jamais entendu d’insultes ou ressenti de rejet de la part des habitants », assure Babiker, un Soudanais de 27 ans. Originaire du Darfour, région limitrophe du Tchad où une guerre civile sévit depuis 2003 provoquant l’exode d’au moins un million de personnes, il a demandé en France le statut de réfugié. En attendant, il vit à Peyrelevade, petit village situé sur le plateau de Millevaches, en Corrèze, où il se sent enfin en sécurité.

Du côté des quelque 800 habitants de la bourgade, même sérénité. Ils semblent avoir accueilli sans hostilité l’ouverture du Centre d’accueil pour demandeurs d’asile (CADA) en avril 2015 et de ses 70 habitants. « Cela se passe plutôt bien, explique Philippe Coutaud, le maire (divers gauches) du village. Tout le monde se dit bonjour et dans l’ensemble les demandeurs d’asile sont plutôt bien acceptés par la population. »

Les commerces ont trouvé de nouveaux clients, et les écoles, de nouveaux élèves. D’ailleurs, souligne le maire, « leur arrivée au village a permis de sauver une classe ». Sur les 55 enfants (maternelle et primaire) que compte l’établissement scolaire, une dizaine d’entre eux vivent au CADA. « Les enfants s’adaptent vite et sont demandeurs. Ils sont vraiment heureux d’aller en classe », poursuit l’élu.

La suite de l’article est à lire ICI.

Et dans le Nord-Lot, on en pense quoi de ce type d’initiatives ?

 

Ciné-débat à Meymac jeudi 9 décembre

Jeudi 9 décembre, au cinéma Le Soubise, le Pays d’art et d’histoire des Hautes Terres Corréziennes et de Ventadour propose un ciné-débat autour du film « Notre Exil à Peyrelevade » en présence des réalisateurs et de Télémillevaches.

« Corrèze, hiver 2019. Marjane Jafari et Cyril Mukendi, venant de l’Iran et du Congo Kinshasa, résident au Centre d’accueil pour demandeurs d’asile de Peyrelevade. Entre les rêves et la précarité qu’offre la France dans l’attente d’un hypothétique visa, leur caméra part en quête du bonheur auprès de celles et ceux qui partagent le même sort. »

« Un film unique en son genre, réalisé par deux personnes exilées, accompagnées par Télé Millevaches. »

Infos pratiques : 18h30 / 4€.

Lot Arts Vivants, la lettre d’info de novembre 2021

Nous relayons ci-dessous un extrait de la dernière lettre d’info de Lot Arts Vivants que nous avons reçue.

C’est avec plaisir que nous ouvrons ce mois de novembre avec la résidence au collège d’Istrie de Prayssac qui accueille la compagnie R.A.M.a autour du thème du « Vivre ensemble », en lien avec la diffusion du spectacle « My (petit) Pogo » de Fabrice Ramalingom.
Lot arts vivants œuvre également à développer la visibilité des compagnies lotoises. Elle organise chaque année, en partenariat avec les saisons culturelles, une journée professionnelle dédiée aux compagnies lotoises afin de leur donner l’occasion de présenter leur projet, mais aussi d’échanger avec les organisateurs d’évènements culturels. Cette journée se déroulera cette année à la salle l’Arsénic de Gindou, le jeudi 18 novembre, en partenariat avec la communauté de communes Cazals Salviac.
Je vous invite à découvrir les actualités de ce mois proposées par l’agence départementale pour le spectacle vivant.

Catherine Prunet, présidente de Lot arts vivants – vice-présidente en charge de la culture, de l’éducation et de la jeunesse du Département

Pour consulter la lettre d’information dans sa totalité ainsi que l’agenda des manifestations, cliquez simplement ICI.

Une belle exposition à la Forge de Souillac

Durant une semaine, du 27 novembre au 5 décembre, l’association La Forge au Fil du Temps ouvre ses portes à trois artistes locaux. L’occasion de s’imprégner de ce lieu hors du temps et de se laisser aller à la rêverie à travers le cheminement singulier de chacun de ces artistes. Cette exposition a le mérite d’avoir osé le mélange éclectique des sculptures en équilibre de Christophe Cayla, des visages de pierre et de sable de Léloi et des peintures humoristiques et surréalistes de Patricia Neal. 

Nous vous encourageons à venir découvrir les dernières créations de Christophe Cayla dont nous apprécions tout particulièrement la sensibilité et le travail poétique. Artisan de la matière, c’est un artiste qui sait jouer du déséquilibre, ses sculptures mobiles de fer et de bronze défient la gravité, accompagnent de délicates silhouettes prêtes à l’envol…

       

Pour visiter les créations de Christophe Cayla cliquez ICI

Celles de de Patricia Neal ICI et de Léloi ICI

Expo « Infinie Liberté » à Souillac, des nouveautés à découvrir !

Le service Culture de Cauvaldor communique :

L’exposition Infinie Liberté, acte 2, est ouverte depuis le 1er octobre jusqu’au 5 décembre prochain.

/ Nouveauté / Des visites goûters autour de l’exposition le samedi à 16h30 !
3 créneaux : les samedis 20 et 27 novembre, et le samedi 4 décembre.
Pensez à réserver par téléphone au 05 65 33 81 36

Vous trouverez le programme complet en cliquant ICI.

Déchets domestiques et agricoles: une nouvelle vie à quel prix ?

Entre les campagnes de sensibilisation au recyclage, les promesses des industriels et des pouvoirs publics de donner une nouvelle vie à nos déchets, tout laisse à penser que cette filière est vertueuse. L’équipe du magazine de France 2 « Cash Investigation » a entrepris une enquête de longue haleine sur le terrain. Elle nous restitue sans complaisance un parcours semé d’embûches sous la forme d’un documentaire percutant: « Déchets : la grande illusion « 

En jetant tous nos déchets plastiques dans la poubelle jaune, nous escomptions bien qu’ils soient massivement recyclés. Or, nous apprenons que sur les 8 milliards et demi de pots de yaourt que nous consommons chaque année, une infime partie est recyclée. Cette investigation nous révèle aussi la face cachée d’une industrie qui a su tirer parti des problèmes environnementaux pour faire fortune de façon tout à fait opaque. Et pourtant, la capacité des usines françaises est bien insuffisante. Succédant à la Chine, c’est la Turquie aujourd’hui qui transforme une partie importante de nos déchets.

Une usine de recyclage turque

La deuxième partie de ce documentaire est consacrée à l’essor de la méthanisation. Elle passe au crible cette technologie pas si écolo qu’elle en à l’air avec ses risques et ses nuisances.

Mais les journalistes de cette enquête ne nous déresponsabilisent pas pour autant. L’émission se ponctue par des conseils pertinents au sujet de ce que nous pouvons faire à titre individuel pour réduire nos déchets car la meilleure façon de désengorger notre planète de ses déchets c’est avant tout d’en produire le moins possible.

A voir sans attendre en replay sur France.tv en cliquant ici

 

Ce documentaire fait largement écho aux recherches du Collectif National Vigilance Méthanisation (CNVMch) et de son groupe de scientifiques indépendants – le Collectif Scientifique National Méthanisation (CSNM) – sans conflit d’intérêt.  Nous profitons donc de ce papier pour vous relayer comme chaque mois la lettre mensuelle du Collectif Citoyen Lotois, membre du CNVMch.

Ce mois-ci, il y est question entre autres de la pollution de l’Ouysse, affluent de la Dordogne, de la grosse production de maïs qui alimente le méthaniseur de Labathude dans le Ségala.

Accédez à ce bulletin et à ses pièces jointes en cliquant sur les liens ci-dessous:

Lettre CNVMch novembre 21

Schéma de la pollution de l’Ouysse

ARRETE PREFECTORAL DU 07.04.21 DEROGATION LIMITE DE QUALITE(2)