Tiers-lieu : une nouvelle réunion participative du collectif « L’en Train » dimanche 20 mars

Le Collectif « L’en-train » communique :

Une nouvelle réunion participative du collectif « L’en Train » aura lieu dimanche 20 mars à 17h à la salle du Rionet, 2 avenue Armand Gouygou, 46110 Le-Vignon-en-Quercy.

Toutes les personnes désireuses de se joindre au collectif sont les bienvenues.

Le 11 mars, les membres du collectif « L’En Train » se sont réunis dans la salle du Temps Libre des Quatre Routes du Lot pour présenter leur projet de Tiers Lieu, projet accompagné par le Centre Social et Culturel Le Rionet.
Vous trouverez ci-dessous le compte-rendu de cette réunion envoyé à toutes les personnes y ayant participé et à celles qui ont (ou auront) répondu au questionnaire en ligne jusqu’au 26 mars.

ICI, vous trouverez quelques-uns des graphiques issus des réponses au questionnaire. Nous vous épargnons les champs commentaires car ils sont trop nombreux pour être transmis mais très intéressants et encourageants. Nous prendrons le temps de les analyser dans un second temps.

Lors de la réunion de vendredi nous avons invité les participants à travailler en petits groupes sur le Tiers-lieu de leurs rêves.
Les besoins exprimés ont été présentés par chacun des groupes à l’ensemble des participants qui pouvaient interagir. A noter que les besoins exprimés ce soir-là rejoignaient dans leur grande majorité ceux relevés dans les réponses au questionnaire ; vous les trouverez ICI.

Sinon, il a été recommandé d’avancer petit à petit, de privilégier l’entraide, la transmission des savoirs et l’intergénérationnel, et de ne pas oublier les enfants et ados.

Sur ce dernier point, nous avons appris qu’un projet d’Espaces Multisports et convivialité est en cours à Vayrac et qu’un questionnaire adressé à la population est disponible ICI.

Il a aussi été question de la création d’un jardin partagé à Saint-Michel de Bannières. En attendant la suite, nous remercions toutes les personnes ayant répondu au questionnaire et celles qui ont assisté à la réunion publique.

A bientôt,
Le collectif de L’En-Train

 

Mobilisation pour la ligne POLT (Paris-Toulouse)

Hé non, « Intramuros » n’est pas qu’une application qui ne servirait qu’à relayer les informations de Cauvaldor. Elle peut aussi servir à transmettre à tout un chacun des informations qui touchent notre quotidien, pour peu qu’il y ait une volonté initiale.

En l’occurrence, la municipalité d’Alassac a décidé de faire partager les infos de l’association « Urgence Ligne POLT » à tous ses administrés et plus !

Créée le 30 Janvier 2010 à Brive, « Urgence Ligne POLT » fédère les initiatives et les diverses organisations locales et collectivités adhérentes, en faveur de la promotion et du développement de la ligne et des dessertes ferroviaires de l’axe Paris-Orléans-Limoges-Toulouse.

A travers une lettre, elle demande la réunion de l’État et des Régions en urgence afin d’aboutir à un accord sur le financement et la signature d’une convention avant la fin de l’année afin d’assurer la réalisation de la modernisation de l’axe POLT, inscrite dans le schéma directeur de la ligne.

Rappelons en effet la décision du Conseil Départemental lotois de financer la construction de la LGV Bordeaux / Toulouse à hauteur de 29 millions d’euros et non pas de faire porter son effort sur l’existant au plus prêt de notre territoire : la Ligne POLT.

Pour lire cette lettre, cliquez-ici.

Projet Sandaya au Lac de Tolerme : c’est oui !

Le futur du lac de Tolerme ?

La première consultation publique réalisée dimanche 6 mars par la Symlat et le Grand Figeac dans les 12 communes concernées par le projet a rendu son verdict : 70% des votants ont exprimé la volonté de poursuivre ce projet touristique autour du Lac de Tolerme.

Sans remettre en cause les résultats de ce vote, il nous semble important de relativiser ce résultat avec le fort taux d’abstention à ce scrutin citoyen : 1459 votants sur 2960 inscrits, c’est moins d’un électeur sur 2 qui s’est rendu dans les mairies pour donner son avis quant à ce projet.

Pourtant, comme nous l’avions écrit dans un précédent article, plusieurs réunions publiques s’étaient tenues en amont, avec à chaque fois un nombreux public et les habitants ont été également régulièrement informés de la teneur du projet par les premiers opposants à celui-ci : les membres de l’association Tolerme Nature.

Nous ne pouvons que nous interroger sur cette abstention : est-elle due à un manque d’implication des habitants ? À une certaine renonciation portée par la difficulté du pot de terre c’est-à-dire les habitants, contre le pot de fer représenté ici par la société Sandaya et soutenue par les élus des communes et de l’intercommunalité ?

Quoiqu’il en soit, nous serons attentifs à l’évolution de ce projet puisque comme le dit Vincent Labarthe dans cet article de la Dépêche du 7 mars  :

« Ce n’est absolument pas un sujet de défiance, au contraire. Le travail mené nous a permis de nous retrouver sur un projet acceptable, qui pourra être amendé par les propositions recueillies dans les réunions publiques. Quand j’étais jeune, j’ai toujours entendu dire que sur ce territoire les élus étaient passés à côté de tout… là ils ont eu la chance de se prononcer sur l’avenir. Ils ont saisi cette chance et ils ne peuvent être que satisfaits. Je suis très satisfait aussi parce que finalement ça conforte les élus du territoire dans leur choix de soutenir ce projet et ça leur permet une belle rencontre avec la population. Le compte y est. »

Les opposants au projet auront aussi leur mot à dire et il nous semble important de rappeler dans ces quelques lignes ce que disait Marie-Jeanne Tournemire, pour l’association Tolerme Nature dans un article de la Dépêche peu avant la consultation : L’initiative du Grand Figeac d’organiser cette consultation citoyenne permet de remettre à l’agenda la question de la valorisation du site du Tolerme pour dynamiser l’économie locale. Tout le monde s’accorde sur le potentiel touristique du Haut Ségala. La question, la seule vraie question, c’est quel projet de développement touristique souhaitons-nous ?… Certains se diront peut-être alors encore une opportunité manquée !… Mais faut-il pour autant se résoudre à accepter un projet qui ne correspond pas au Haut Ségala, à la nature du site, aux préconisations officielles de tourisme durable et aux constats répétés du GIEC que nous ne pouvons ignorer ? Nous voterons non au projet Sandaya. Et nous appelons le Grand Figeac à organiser un appel à proposition de projets de développement touristique autour du Lac du Tolerme, sur la base d’un cahier des charges élaboré avec les citoyens du Haut Ségala… »

Pour clore cet article, nous pensons qu’il est intéressant de vous donner à lire celui de Nestor Romero dans Mediapart à ce sujet ; comme quoi le débat est loin d’être terminé !

 

Un tiers-lieu à Gignac initié par la municipalité ?

Voici des informations qui n’ont pas été présentées au sujet de l’ancien multiple rural pendant la réunion publique de samedi dernier.

Car, bien que de nombreuses questions aient été posées aux conseillers présents à ce sujet, invariablement la réponse était : tant que l’accompagnement ADEFPAT n’est pas terminé et le projet finalisé nous ne vous en dirons pas plus…

Rien à voir et pourtant !

Nous vous annoncions, dans un article publié la semaine dernière, la création d’un tiers-lieu aux Quatre Routes du Lot et nous vous donnions le lien pour accéder au questionnaire en ligne qui permettra aux membres du collectif « L’En Train » d’affiner leur projet aux plus près des préoccupations des habitants du territoire ciblé.

Dans le même esprit, c’est-à-dire vous tenir informés des nouvelles concernant notre territoire, nous nous sommes rendus au Conseil Communautaire du lundi 7 mars à Gramat. Ce fut un moment agréable que de retrouver cette atmosphère de ruche où les présentations de projets s’enchaînent avec de vrais moments de dialogue, le tout étayé par de solides argumentaires et dossiers toujours présentés efficacement avec le souci d’expliquer.

Ainsi, à la lecture de l’ordre du jour de ce conseil un point (le n°10) a attiré notre attention : Accompagnement ADEFPAT – Développement du site de la Source Salmière – SIVU de Miers-Alvignac.

Après la présentation de cet accompagnement et la délibération prise pour son lancement, le vice-président en charge du dossier devait donner diverses informations portant sur les accompagnements mis en œuvre depuis la nouvelle mandature. Malheureusement, par manque de temps (le conseil durait déjà depuis 3 heures), ce point n’a pu être fait. Néanmoins pour ne pas rentrer sans informations nous avons pu prendre connaissance du tableau qui devait étayer ces propos :

Accompagnement ADEFPAT pour le multiple rural de Gignac : un projet de tiers-lieu inclus dans l’opération « Cœur de village » à Gignac

Projet : Espace village à Gignac 

Descriptif synthétique : Création d’un tiers-lieu innovant pour redynamiser le bourg et pallier l’absence de commerces.

L’objectif est de proposer plusieurs services (restauration rapide /bar, point-relais, salle des associations etc.) au sein d’un même lieu, en lien avec l’aménagement du centre bourg (opération « cœur de village »).

Date de lancement accompagnement : Juillet 2021

Date de fin accompagnement : Mars 2022

Voilà ce qui pourrait éclairer les décisions municipales à l’encontre de notre association et de son projet de tiers-lieu… et le refus de notre participation à cet accompagnement ADEFPAT !

Nous aimerions aller un peu plus loin qu’une vaine polémique : nous avons renseigné le questionnaire du collectif « L’en Train » et avons été surpris de constater la différence de contenu entre ce questionnaire et celui proposé par notre équipe municipale…

Nous ne pouvons que vous conseiller de cliquer sur ce lien pour vous rendre compte par vous-mêmes ce qu’aurait pu être le questionnaire que nous avons renseigné au sujet de l’ancien multiple rural.

Comme quoi une autre vision des choses est possible avec une vraie concertation.

Retour sur les origines de la crise en Ukraine

Alors que le numéro de mars du mensuel, le Monde diplomatique, partait pour l’impression, l’armée russe n’avait pas encore attaquée l’Ukraine. Cependant, dans le numéro de février, alors que les menaces d’une intervention militaire russe étaient réelles, le chercheur David Teurtrie dans un article  » Ukraine, pourquoi la crise », faisait une analyse pertinente de la genèse de ce conflit et de ses enjeux géopolitiques. À la demande d’un grand nombre de ses lecteurs, le journal a mis cet article en accès libre. Alors que l’émotion et l’indignation sont à leur comble et à juste titre, il semble nécessaire de prendre un peu de recul pour contextualiser cette situation tragique et appréhender dans leur complexité les relations internationales qui ont fait le terreau dans lequel s’enracine ce conflit.

La crise en Ukraine au moment des accord de Minsk en 2015

Selon l’auteur, « le malentendu remonte à l’effondrement du bloc communiste en 1991 ». Alors que l’OTAN n’avait plus lieu d’être puisqu’elle avait été créée pour faire face à la menace soviétique, aucun schéma d’intégration de cette autre Europe n’a été proposé. Pourtant les élites russes n’ont jamais été aussi pro-occidentales qu’à cette période. Six ans plus tard, contrairement à ce qu’avaient promis les dirigeants occidentaux à M. Mikhaïl Gorbatchev, l’OTAN s’élargit à tous les pays d’Europe de l’Est. En 1999, Boris Eltsine, qui avait œuvré à l’implosion de l’URSS, ne voit pas sa contribution récompensée mais sort au contraire comme le grand perdant sur le plan géopolitique de la guerre froide et les élites russes se sentent trahies.

Lorsque l’Alliance Atlantique entre simultanément en guerre contre la Yougoslavie, l’OTAN, bloc défensif, se transforme en alliance offensive et viole le droit international, viol réitéré par les États-Unis lorsqu’ils poussent à la reconnaissance de l’indépendance du Kosovo, juridiquement  province serbe et quand ils envahissent l’Irak sans aval de l’ONU. Selon, David Teurtrie « les Occidentaux ayant ouvert la boîte de Pandore de l’interventionnisme et de la remise en cause de l’intangibilité des frontières sur le continent européen, la Russie leur répond en intervenant militairement en Géorgie en 2008 […] Mais, en remettant en cause l’intégrité territoriale de la Géorgie, la Russie viole à son tour le droit international. »

Retrouver l’intégralité de l’article « Ukraine, pourquoi la crise » en accès libre ICI

Lac de Tolerme : Stop ou encore pour le projet de Sandaya ?

Plusieurs articles parus dans les médias lotois nous ont rappelés ces dernières semaines l’échéance du 6 mars et de la consultation publique comme le marqueur décisif relatif au projet d’aménagement des abords du Lac de Tolerme.

Nous nous sommes faits de nombreuses fois le relais des luttes des habitants de ce territoire sans omettre les arguments des partisans de ce projet.

Le 1er septembre, à la demande du Grand Figeac et des communes concernées, le porteur de projet, la société Sandaya,  a présenté les détails de son projet lors d’une réunion publique ayant réuni plus de 500 personnes (voir plus bas *).

Devant les nombreuses interrogations et remarques des participants à cette réunion, et afin d’apporter une réponse à ce projet, le Grand Figeac a décidé d’organiser un scrutin citoyen permettant aux habitants des 12 communes adhérentes au Symlat (syndicat mixte du Lac du Tolerme) de se déterminer sur la question suivante :

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De moins en moins de terres pour les jeunes paysans…

Terre de Liens

Depuis quelques jours, France Inter diffuse sur ses ondes un message de l’association « Terre de liens » interpellant les auditeurs sur le difficile sujet de l’installation des jeunes agriculteursLe message de l’association lu par le comédien Guillaume Canet est retransmis gratuitement dans le cadre de l’aide par les médias de Radio France à des projets favorisant la transition écologique. Nous avons décidé d’aller un peu loin sur ce sujet et de vous apporter quelques informations complémentaires :

Dans un rapport, l’association Terre de liens alerte sur « l’inexorable disparition des fermes en France ». Elle évoque ainsi les nouvelles conditions de transmission des exploitations et des sols après notamment des départs à la retraite, et pointe également l’artificialisation excessive des terres.

Vingt ans après sa création, l’association Terre de liens publie son premier rapport. Elle a fait de la lutte contre la spéculation des terres agricoles sa bataille et se démène pour installer de nouveaux agriculteurs. Et les résultats sont là : 300 fermes et 7.000 hectares de terres acquis, et elle a permis l’installation de 600 paysans. Le rapport alerte ainsi sur « l’inexorable disparition des fermes et des paysans en France« .

Mais la réalité peut être encore plus prégnante pour les futurs agriculteurs puisque seulement un jeune agriculteur sur 2 arrive à s’installer dans les années suivants sa sortie de formation.

Pour aller plus loin nous vous proposons de lire cet article de Reporterre revenant sur ce rapport de Terre de liens.

Il y avait bien conseil municipal le 14 février, nous y étions !

Voici un bref compte-rendu de ce conseil particulièrement court (moins de ¾ d’heure) qui ne réunissait que 8 conseillers et 3 procurations de vote. Il se trouve qu’il complète en fait le PV de la mairie relatif au conseil « en urgence » qui s’est tenu quatre jours plus tard, le 19 février, ces deux conseils ayant étrangement le même ordre du jour tandis qu’aucun PV n’a été publié pour le CM du 14 (voir l’article précédent).

Délibération n°1 : Instauration d’une provision comptable de portée générale pour créances douteuses

Nous ne reviendrons pas sur les ennuyeux détails techniques de la nouvelle méthodologie de provision comptable. Plus concrètement, Madame la Maire précise que les créances douteuses ne sont pas en général des sommes élevées. Par exemple, pour 2022, elles s’élèvent à 903 euros et correspondent à des loyers et cantine impayés. Ici, il s’agit d’une créance remontant à 2016. Ces créances, qui 4 à 5 ans après procédure deviennent irrécupérables, sont appelées « créances douteuses ».

Délibération n°2 : Dépenses d’investissement avant le vote du budget 2022 – Délibération autorisant le Maire à engager, liquider et mandater les dépenses

Il n’y a rien à ajouter au PV publié par la mairie si ce n’est qu’il s’agit de dépenses qui n’étaient pas prévues d’où la nécessité de donner mandat à Madame le maire pour qu’elle soient effectuées.

Délibération n°3 : Adhésion à Initiatives Emplois et autorisation au Maire pour signer les contrats de mise à disposition de personnel 

Initiatives Emplois met du personnel au service des collectivités et en cela de nombreuses communes y sont adhérentes. Le coût de revient d’un agent dans ce cadre pour la commune est de 20,20 € de l’heure charges comprises.

Divers 

– Clôture du moulin:

La mairie a été sollicitée pas l’association Lo Patrimoni pour le remplacement de la clôture grillagée existante autour du moulin. Au jour de ce conseil, la mairie dispose de deux devis réalisés par l’entreprise Poquet sollicitée par l’association:

  • Devis 1: 2826 € TTC (piquets acacia + grillage à mouton)
  • Devis 2: 4410 € TTC (piquets de diamètre 14cm et lisses autoclave classe 4 comme l’existant autour de la pelouse sèche)

D’autres entreprises vont être sollicitées en vue d’obtenir d’autres devis (Corrèze BTP et Lionel Baussian)

– Photocopieurs mairie:

Un photocopieur à l’école, le second à la mairie, un troisième hors service. Les contrats de maintenance arrivent à échéance, c’est le moment de revoir le mode de fonctionnement car le contrat de leasing est très désavantageux. Il est dit qu’il faudrait voir si ce n’est pas mieux d’acheter du matériel d’occasion.

 

A noter: Une semaine après ce conseil municipal, nous trouvions dans nos boîtes aux lettres une invitation à une réunion publique concernant le projet Cœur de Village. Nous nous étonnons que cette réunion n’ait pas été mentionnée lors du conseil.

Deux conseils pour le prix d’un… mais pourquoi ?

Un conseil municipal « d’urgence » s’est tenu samedi 19 février à 8 heures 30 du matin en mairie !

Conseil avec l’ordre du jour suivant publié le 17 février :

  1. Délibération n°1 : Instauration d’une provision comptable de portée générale pour créances douteuses ;
  2. Délibération n°2 : Dépenses d’investissement avant le vote du budget 2022 – Délibération autorisant le Maire à engager, liquider et mandater les dépenses d’investissement (dans la limite du quart des crédits ouverts au budget de l’exercice précédent) ;
  3. Délibération n°3 : Adhésion à Initiatives Emplois et autorisation au Maire pour signer les contrats de mise à disposition de personnel ;
  4. Divers.

Alors qu’un conseil municipal s’est tenu le lundi 14 février !

La publication de l’ordre du jour de ce conseil d’urgence s’est faite avant même la publication du PV de celui du 14 et puis quelle diligence, le PV de celui du 19 est déjà publié !

Mais alors qu’est devenu celui du 14 février ?

Et pourquoi ce conseil d’urgence avec cet ordre du jour alors qu’il est le même que celui du 14 et que le PV du 14 est purement escamoté pour ne laisser place qu’à celui du 19 ?

Beaucoup de questions qui sont pour l’instant sans réponse car dans le PV du 19 février il n’est fait nulle part référence à celui du 14 !

Nous n’avons malheureusement pas pu y participer car nous n’étions pas au courant de cette urgence à refaire un conseil 4 jours plus tard, pour à priori la même chose !

Pourquoi alors ne pas utiliser  « Intramuros » pour annoncer au moins les conseils municipaux comme le font déjà nombre de mairies ?

Pour être tout à fait clairs nous vous donnons à lire l’ordre du jour du conseil du 14 février tel qu’il a été publié sur le site de la mairie :

Les membres du Conseil municipal sont convoqués à la Mairie dans la salle du Conseil municipal :

Le lundi 14 février 2022 à 20h30

Gignac, le 08/02/2022

Le Maire, Solange OURCIVAL 

ORDRE DU JOUR :

  1. Délibération n°1 : Instauration d’une provision comptable de portée générale pour créances douteuses ;
  2. Délibération n°2 : Dépenses d’investissement avant le vote du budget 2022 – Délibération autorisant le Maire à engager, liquider et mandater les dépenses d’investissement (dans la limite du quart des crédits ouverts au budget de l’exercice précédent) ;
  3. Délibération n°3 : Adhésion à Initiatives Emplois et autorisation au Maire pour signer les contrats de mise à disposition de personnel ;
  4. Divers.

Et vous trouverez ICI le PV du conseil du 19 février.

Les conseils participatifs ne sont plus une utopie

La participation est une thématique chère à notre association et nous sommes heureux de constater que les villes qui s’y mettent sont de plus en plus nombreuses et diverses. Alors, pourquoi pas à Gignac ?

1er exemple à Sarlat où un forum-débat s’est tenu la semaine dernière et a débouché sur le constitution d’un Conseil participatif.

Pour co-construire l’aménagement de l’espace public dans le secteur sauvegardé, la Ville de Sarlat a souhaité organiser une séquence démocratique, dispositif directement issu de la Charte de la participation citoyenne de Sarlat.

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