Le bétisier de la pandémie

Nous sommes encore au mois de janvier, les bêtisiers sont donc toujours d’actualité.

Maxime Combes est économiste et l’une des figures d’Attac France, où il suit les grands enjeux environnementaux et énergétiques nationaux et mondiaux. Il est également engagé dans « Basta » et « Mouvements ». Il est coauteur de l’ouvrage publié par Attac, « La Nature n’a pas de prix » et de « Crime climatique stop ! ».

Et aussi, de l’autre côté de l’échiquier politique, cet article du Figaro de Mayeul Aldebert qui détaille les errements gouvernementaux de la gestion de crise.

Pandémie, tous les avis sont bons à écouter

Je vous retranscris ci-dessous un long billet que Jean-Pierre Luminet (astrophysicien de réputation internationale, spécialiste des trous noirs et de la cosmologie) a publié récemment sur son compte Facebook.

Sans nécessairement partager l’intégralité de son analyse, ce billet vaut qu’on prenne le temps de le lire dans son entièreté.

Il y a quelques jours j’ai conduit mon véhicule dans un centre de contrôle technique, afin renouveler le « pass » périodique obligatoire mis en place dès 1992 sous directive de la bien-aimée commission européenne, et permettant de circuler à peu près tranquillement durant deux ans sans se faire verbaliser par les bien nommées « forces de l’ordre » pour un pneu légèrement usé ou quelque essuie-glace un tantinet voilé.
Ayant eu la bonne idée de quitter récemment l’encombrée métropole marseillaise pour m’installer dans la campagne provençale, tout – ou presque – y devient plus facile. Ledit centre de contrôle est lui-même situé dans la campagne, près de la bourgade de Saint-Andiol : un simple coup de fil, on vous répond tout de suite et il n’y a aucune attente pour prendre rendez-vous.
Le jour dit j’entre donc dans la petite échoppe. Il n’y a personne sinon le préposé, lequel ne porte, sainement dirais-je, pas de masque. Vous connaissez ma position sur la question et vous pensez bien que, dès lors que cela ne dérange pas autrui, je n’allais pas plaquer sur mon museau ce que j’ai toujours considéré comme une aberration sanitaire, et je laisse mes clés de voiture au préposé pour aller faire une promenade.
Trois quarts d’heure plus tard je reviens pour le diagnostic. Cette fois un autre client est présent dans la pièce : une femme, masquée. Elle me lance un regard réprobateur et m’enjoins de mettre mon masque. Je lui réponds poliment que je ne pense pas que cela soit nécessaire : moi-même scientifique, je me suis renseigné sur la question auprès de sources crédibles, et hormis en salle de chirurgie il appert que le masque porté partout et en permanence n’est pas bon du tout pour la santé ; ce n’est en réalité qu’un dispositif vestimentaire permettant au pouvoir de s’assurer du degré d’obéissance de la population. La cliente me répond qu’elle ne veut rien savoir de tout cela et que je dois mettre le masque parce que c’est obligatoire. Je lui réponds que ce qui est obligatoire n’est pas forcément pertinent. De plus en plus énervée elle me rétorque qu’elle a eu le COVID. Je m’apprête donc à lui expliquer qu’a fortiori et en toute logique elle est parfaitement immunisée et ne doit plus avoir aucune crainte d’être contaminée. Mais avant que j’ouvre même la bouche je vois une lueur de panique s’allumer dans son regard, elle prend soudain son sac et quitte la pièce … en courant !

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Conseil d’administration et bureau 2022

Lors de notre Assemblée Générale du 21 janvier 2022, le conseil d’administration et le bureau ont été renouvelés.

Liste des administrateurs :
– Caroline ERHARDT
– Dominique BAILLY
– Jean-Luc LOUIS
– Jean-Marc FAUREL
– Louise-Marie LE BRIS
– Maurice ERHARDT
– Michel LE BRIS
– Odile LOUIS
– Sylvie GARRIGUE

Les membres du bureau :
– Président : Dominique BAILLY
– Secrétaire : Caroline ERHARDT
– Trésorier : Jean-Luc LOUIS

Ordre du jour de la Séance du Conseil municipal du mardi 18 janvier 2022

Les membres du Conseil municipal sont convoqués à la Mairie dans la salle du Conseil municipal :

Le mardi 18 janvier 2022 à 20h30.

Gignac, le 13/01/2022

Le Maire, Solange OURCIVAL

ORDRE DU JOUR :

Délibération n°1 : Adressage – Demande de subvention au titre de la DETR 2022 (Dotation d’Equipement des Territoires Ruraux) ;
Délibération n°2 : Décision modificative – Vote de crédits supplémentaires au budget principal sur l’exercice 2021 au compte budgétaire 6817 « Dotations aux provisions pour dépréciations des actifs circulants » ;
Délibération n°3 : Adhésion de la Commune de Floirac au Syndicat Mixte des Eaux du Causse de Martel et de la Vallée de la Dordogne S.M.E.C.M.V.D.) ;
Divers.

Passe vaccinal : la défenseure des droits alerte sur 5 points

Le Parlement étant amené une nouvelle fois à se prononcer dans l’urgence sur un projet de loi comportant des mesures de gestion de la crise sanitaire, la Défenseure des droits souhaite dans ce délai contraint, rappeler (…) un certain nombre de points d’inquiétudes déjà formulés dans ses précédents avis et en formuler de nouveaux.

La Défenseure des droits redit une nouvelle fois que, si la situation de crise exceptionnelle liée à la pandémie de Covid-19 suppose des mesures exceptionnelles, celles-ci doivent se conformer au principe de légalité, et pour cela s’avérer strictement nécessaires, proportionnées et adaptées aux risques sanitaires encourus. Elles doivent être entourées de garanties pour assurer une protection contre les risques d’abus et d’arbitraire.

Tout en reconnaissant l’importance considérable de la vaccination dans la lutte contre la pandémie, la Défenseure des droits souhaite en particulier alerter et faire des observations sur les cinq points suivants.

L’imposition d’un passe vaccinal : la question de la nécessité et de la proportionnalité

Ce projet de loi vient confirmer les craintes précédemment exprimées par la Défenseure des droits en accentuant encore un peu plus le rétrécissement progressif des libertés et en prévoyant une obligation vaccinale déguisée. La question de la nécessité et de la proportionnalité du passe vaccinal se pose à la lumière des données et connaissances disponibles à ce jour qui montrent que si la vaccination protège de façon très significative contre les formes graves de la maladie, son efficacité contre la contagiosité des personnes vaccinées mais infectées semble en revanche plus réduite

Un passe vaccinal contraire à l’intérêt supérieur de l’enfant

La Défenseure des droits reste particulièrement préoccupée par les mesures qui concernent et affectent directement la vie quotidienne des mineurs et l’exercice de leurs droits.

Les mineurs de 12 à 18 ans se trouvent dans une situation particulière qui justifie pour la Défenseure des droits, également Défenseure des enfants, leur exclusion du passe vaccinal pour au moins deux raisons.

Tout d’abord, les formes sévères affectant rarement les mineurs, l’argument consistant à justifier le passage du passe sanitaire au passe vaccinal par la nécessité d’alléger la pression sur le système hospitalier ne peut être valablement avancé pour ce qui les concerne.

Par ailleurs, les mineurs de 16 ans ne peuvent être vaccinés qu’avec accord de leurs parents. Ils pourront donc être privés de l’exercice de leurs libertés pour une décision qui ne relève pas d’eux, voire se trouver pris dans des conflits d’exercice de l’autorité parentale comme nous le constatons déjà aujourd’hui.

A défaut d’exclusion des mineurs de l’obligation de présenter un passe vaccinal, la Défenseure des droits considère indispensable que la loi prévoie que soit entendu comme un motif impérieux d’ordre familial, le maintien des liens de l’enfant avec l’autre parent, une personne de sa famille, ou une personne référente pour lui.

Concilier les objectifs recherchés avec les situations personnelles et professionnelles des personnes

La Défenseure des droits est d’avis que le législateur devrait mieux concilier les objectifs recherchés en prenant en considération la situation personnelle et professionnelle des personnes et compléter la loi à cet égard. Le projet de loi reste notamment silencieux sur ce qu’on entend par « motif impérieux d’ordre familial ou de santé », comme sur les justifications susceptibles d’être admises par les responsables chargés de contrôler les documents présentés. L’imposition de ce passe vaccinal dans l’accès à ces services porte directement atteinte à la liberté d’aller et venir, et potentiellement par ricochet à d’autres droits, tels que le droit au respect de la vie privée et familiale ou encore l’exercice et la recherche d’une activité professionnelle qui peut nécessiter des déplacements de longue distance.

Encadrer davantage le dispositif de vérification et prévenir les risques de discrimination

La Défenseure des droits réitère également ses inquiétudes concernant le choix de confier à des entreprises publiques et privées une forme de pouvoir de police quant au contrôle du passe vaccinal qui vise toutes les personnes souhaitant accéder à des biens et services relevant de la vie quotidienne.

Si l’objectif des dispositions est de lutter contre la fraude, la Défenseure des droits estime qu’un tel dispositif confié au libre arbitre de personnes non formées à cette fin, ne peut être efficace. Ce contrôle devrait relever de la responsabilité des autorités publiques, notamment des forces de sécurité, compte tenu de l’objectif poursuivi et des risques inhérents à l’exercice d’une telle prérogative.

La Défenseure des droits tient en outre à relever que ces vérifications, opérées sans contrôle, peuvent présenter des risques discriminatoires.

Le déremboursement des tests de dépistage

La Défenseure des droits, rappelle une nouvelle fois que le choix de l’exécutif d’instaurer le déremboursement des tests de dépistage de la covid-19, touche plus particulièrement les personnes les plus vulnérables, les plus éloignées du système de santé, et les populations précaires et/ou isolées. Elle ajoute qu’avec l’instauration d’un passe vaccinal, le non-remboursement des tests pour les seules personnes non vaccinées semble dénué de toute justification aussi bien juridique que sanitaire.

 

Vous pouvez lire l’avis complet de la Défenseure des droits ICI.

Des nouvelles lignes de train prévues par Railcoop

Plusieurs quotidiens nationaux et régionaux ont récemment annoncé les nouvelles autorisations d’ouvertures de lignes données par l’Etat à Railcoop.

Ainsi, après l’autorisation d’exploiter la ligne Bordeaux / Lyon sans doute pour la fin 2022, Railcoop vient d’avoir le feu vert pour six nouvelles lignes en France. Il s’agira à l’horizon 2024 des destinations suivantes : Lille-Nantes, Strasbourg-Clermont-Ferrand, Massy-Brest, Saint-Étienne-Thionville, Grenoble-Thionville et Le Croisic-Bâle. ( Voir carte ci-dessus).
L’offre projetée par Railcoop prévoit par exemple deux allers-retours quotidiens entre Lille-Flandres et Nantes, avec des arrêts à Amiens, Rouen, Caen et Saint-Lô notamment, et un temps de trajet total de plus de 9 heures. Entre Strasbourg et Clermont-Ferrand, Railcoop proposerait deux allers-retours quotidiens avec des arrêts à Mulhouse, Besançon, Dijon-ville, Nevers ou encore Vichy, et un temps de trajet d’un peu moins de 8 heures.
Ces temps de trajet qui peuvent sembler longs à l’heure des TGV s’expliquent par le grand nombre de gares qui seront desservies sur ces lignes. Par exemple sur le trajet Nantes / Lille en passant par Caen, le train s’arrêtera dans pas moins de 17 gares intermédiaires ! C’est faire le pari de la réouverture de gares et de connexions oubliées en ces temps d’économie pour privilégier la rapidité au détriment du service du public par notre régie nationale.
Tous ces trajets évitent Paris et ces changements de gares rendus nécessaires pour passer du nord au sud ou de l’est à l’ouest de notre territoire et montrent qu’il est possible d’imaginer un schéma ferré cohérent hors du passage obligé par notre capitale.
C’est aussi faire le choix de la lenteur mais aussi du désenclavement des territoires ruraux, qui plus est en utilisant du matériel TER remis à neuf.
Un autre avantage et non des moindres : des tarifs réellement attractifs qui devraient se situer au même niveau que ceux pratiqués dans le covoiturage avec la volonté affichée de faire revenir les français vers les gares.

Pour aller plus loin, lire cet article paru dans Ouest France le 4 janvier.

Cette année, on « fête » les 20 ans de l’Euro

Nous ouvrons ici une nouvelle catégorie d’articles consacrée à des sujets de société et destinée à alimenter notre réflexion collective.

Les « 20 ans de l’euro » ont fait l’objet de nombreux articles ces derniers jours. Voici 2 points de vue, quelque peu différents.

[Au delà de l’aspect « Vie quotidienne »] si les grands dirigeants européens, avec le traité de Maastricht et ses célèbres critères, ont voulu doter le Vieux continent d’une monnaie unique c’est surtout pour peser sur la scène internationale. Et le pari est aujourd’hui réussi. Quasi immédiatement, l’euro est devenu une monnaie de rang international, à l’image du dollar américain. En 2021, l’euro est la deuxième monnaie la plus importante du système monétaire international. 60 % des exports de marchandises issues de la zone euro sont libellés dans cette monnaie et plus de 21 % des réserves de change mondiales sont libellées en euros (59 % pour le dollar).
L’euro a surtout servi de parapluie à l’Europe secouée par les conséquences de la crise financière des subprimes de 2008 qui a mis au bord du gouffre le système bancaire et financier. Cette crise devenue économique en 2009-2010 a poussé les Etats à dépenser plus que de raison pour soutenir leurs économies amenant à la crise des dettes notamment grecque. Cette crise de l’endettement a ébranlé la confiance des marchés financiers faisant craindre une faillite de certains États membres, voire une désintégration de la zone euro. Mais l’Union européenne, de sommets d’urgences en réunions de crises, a tenu bon et la solidarité entre Etats a permis de ramener le calme évitant le pire aux pays du Sud de l’Europe et peut être même à la France. Depuis a été créé le Mécanisme européen de stabilité (MES) qui permet de mobiliser immédiatement 410 milliards d’euros en cas de nouvelle crise. Quant aux critiques faites par le consommateur sur la hausse des prix, elles sont mathématiquement infondées mais encore tenaces.

  • Une interview de Michel Guillaud, Président de l’association France Conso Banque (association de défense des usagers des banques) sur France Culture :

 

Une bonne année tous ensemble

En espérant que ce sera pour très bientôt !

Chers gignacoises et gignacois,

Au nom de tous les membres de l’association « Gignac Ensemble », je vous souhaite une excellente année 2022 !

Une année pleine de santé bien sûr, en ces temps de pandémie et aussi sans tension, sans affrontement car nous avons besoin en ces moments troublés de sérénité et de tranquillité.

Une année débordante de complicité et de fraternité avec l’envie jamais rassasiée de faire des choses ensemble.

Une année ouverte sur des projets structurants pour le futur de notre commune et au plus près de la volonté et des choix portés par tous ses habitants…

Je saisis également l’occasion de ces vœux pour fêter avec vous le premier anniversaire de notre association qui, née de la volonté de quelques uns, voit son nombre de membres et de bénévoles grandir au fil des mois et des actions réalisées malgré le contexte difficile ! Merci encore à toutes celles et ceux qui nous ont soutenus !

Toujours plus enthousiaste et déterminée, l’équipe de Gignac Ensemble poursuivra les missions qu’elle s’est donnée : informer, réunir, participer à la vie démocratique de notre village, mettre en œuvre des projets utiles aux habitants de Gignac et respectueux de notre planète…

Encore bonne année à vous tous !

Dominique Bailly.

Événement « Fabrique Citoyenne en Santé » à Gramat

Pour toutes les personnes qui n’ont pas installé l’application Intramuros sur leur téléphone ou bien qui dans la liste des communes lotoises n’ont pas sélectionné Gramat, nous nous permettons de relayer une nouvelle publiée cette semaine (lien ICI)

Il s’agit d’un appel lancé à participer à un débat public qui se tiendra le samedi 5 février à Thégra, débat initié par L’ARS et Cauvaldor sur la problématique suivante : comment associer, impliquer le citoyen aux démarches et politiques de santé ?

Comme pour d’autres débats initiés par notre grande intercommunalité, par exemple ceux qui se sont déroulés en septembre 2021 sous le vocable « Ecoutes Citoyennes » au sujet du plan Climat, air, énergies, les modalités sont assez contingentées car seulement une vingtaine de personnes seront retenues (sur quels critères ?) pour y participer. Ceci étant, comme vous pourrez le lire, il semble qu’il manque encore des candidats pour ce moment d’échanges dans une période qui donne tout son sens à la problématique choisie.

Nous allons postuler, cela nous permettra peut-être de vous faire un compte-rendu des débats !

Information de la Mairie de Gramat

DU MARDI 1 FÉVRIER  AU SAMEDI 5 FÉVRIER A THEGRA (LOT)

L’Agence Régionale de Santé nous a contactés au printemps dernier sur le sujet de la démocratie en santé, afin de constituer une « Fabrique Citoyenne » s’appuyant sur les instances régionales et territoriales de démocratie en santé notamment les Conseils Territoriaux de Santé mais aussi sur des collectivités identifiées et volontaires pour participer à un projet permettant de concerter les habitants sur leur besoin. L’objectif étant : comment associer, impliquer le citoyen aux démarches et politiques de santé (notamment sur les démarches de prévention) ?  

La Communauté de communes CAUVALDOR, qui couvre un territoire rural, avait été repérée au vu de certaines actions portées notamment dans le cadre du diagnostic sur le Contrat Local de Santé, avec la démarche « d’aller vers » les habitants (présence sur les marchés de 8 communes pour recueillir la parole des citoyens sur leurs attentes et problématiques dans le domaine de la santé).

Suite à ces premiers échanges, nous avions signifié notre intérêt à pouvoir participer à un groupe de réflexion et à des actions qui pourraient émerger.

Les représentants de l’ARS sont revenus vers nous récemment pour nous proposer une 1ère action portée par cette « Fabrique Citoyenne » : l’organisation de journées citoyennes sur le sujet « Crise sanitaire & prévention en santé : quels vécus par les citoyens et quelles solutions ? » en mettant l’accent sur 2 enjeux : « L’accès à une juste information en temps de crise sanitaire » et « La lutte contre l’isolement social en période de crise sanitaire ».

Ces journées seront donc organisées sur 3 lieux distincts au niveau régional: 2 en métropole urbaine, à Toulouse et à Montpellier, le 3ème sur le territoire de CAUVALDOR.

Nous vous sollicitons donc aujourd’hui pour communiquer auprès des habitants de votre commune sur cet événement qui se tiendra le samedi 05 février 2022 à Thégra: vous trouverez à cet effet ci- joint un flyer (en recto l’objet de cette rencontre et en verso le questionnaire à remplir pour s’inscrire/ jusqu’au 10 janvier)

Il convient en effet de « recruter » les habitants qui voudront bien participer à cette journée citoyenne en santé, sachant que pour la qualité des échanges, il est prévu de retenir une vingtaine de personnes (à ce jour, un faible nombre d’inscriptions). Un contact téléphonique sera réalisé dans la semaine suivant le 10 janvier pour informer les personnes de leur participation à l’atelier.

http://www.gramat.fr

https://www.facebook.com/gramat.fr