Un groupe local à découvrir
Le groupe « San Salvador » est originaire de Corrèze.
Leur credo, ce sont les chants polyphoniques monodiques anciens du Massif Central.
Ecoutez un extrait ici.
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La France est noyée sous une tempête diluvienne qui lui donne des airs, en ce dernier jour de 1999, de fin du monde. Alexandre, reclus dans sa ferme du Lot où il a grandi avec ses trois sœurs, semble redouter davantage l’arrivée des gendarmes. Seul dans la nuit noire, il va revivre la fin d’un autre monde, les derniers jours de cette vie paysanne et en retrait qui lui paraissait immuable enfant. Entre l’homme et la nature, la relation n’a cessé de se tendre. A qui la faute ? Dans ce grand roman de « la nature humaine » , Serge Joncour orchestre presque trente ans d’histoire nationale où se répondent jusqu’au vertige les progrès, les luttes, la vie politique et les catastrophes successives qui ont jalonné la fin du XXe siècle, percutant de plein fouet une famille française. En offrant à notre monde contemporain la radiographie complexe de son enfance, il nous instruit magnifiquement sur notre humanité en péril. A moins que la nature ne vienne reprendre certains de ses droits…Serge Joncour est l’auteur de douze livres, parmi lesquels UV (Le Dilettante, prix France Télévisions 2003) et, aux Editions Flammarion, L’Idole (2005), Combien de fois je t’aime (2008), L’Amour sans le faire (2012), L’Ecrivain national (prix des Deux Magots 2014), Repose-toi sur moi (prix Interallié 2016) et Chien-Loup (prix du Roman d’Ecologie, prix Landerneau 2018).
Notre avis : un beau roman enraciné dans la campagne lotoise qui déroule les évolutions sociétales des années 70 à 90 dans lesquelles beaucoup se reconnaîtront.
“L’avenir, c’est du passé en préparation.” (Pierre Dac)
Suite à notre article « Une nouvelle enquête publique relative à « la Voie d’Avenir » ou T3 organisée par Cauvaldor » publié vendredi dernier nous avons contacté les services de notre intercommunalité pour avoir des réponses à nos questions.
Nous avons sollicité par mail l’enquêteur désigné (adresse disponible dans les documents joints à notre premier article) pour avoir quelques éclaircissements relatifs au contenu de l’enquête publique qui sera lancée le 8 février prochain.
Après un entretien téléphonique avec Magali Livenais, assistante de la direction adjointe de la « gestion de l’espace » pour Cauvaldor voici les réponses que nous avons obtenues :
On peut raisonnablement penser que rien ne sera annoncé avant les prochaines élections des conseillers départementaux de juin prochain. Nous verrons alors si cette voie portait bien son nom et si c’est une des préoccupations des futurs candidats.
Pour mieux comprendre, voici quelques-uns des documents qui ont émaillé cette longue histoire :
2010-06-02 – Désenclavement du nord du Lot
2010-10-22 – Désenclavement du nord et du sud corrézien
2013-10-24 – Désenclavement du nord du Lot et du sud Corrèze
2014-03-01 – Etude d’impact, pages 177 à 192 (volume 2)
2015-06-15 – Enquête publique voie d’avenir
2015-06-26 – Désenclavement nord du Lot, la mobilisation contre le T3 ne faiblit pas
2016-12-09 – Lot une voie d’avenir ou sans avenir
2018-04-09 – Le tribunal administratif rejette la voie d’avenir
2018-04-09 – Voie d’avenir, l’ambition d’une meilleure desserte du nord du Lot n’est pas abandonnée
Suite au conseil communautaire de Cauvaldor qui a eu lieu ce lundi 25 janvier à Souillac, « La Vie quercynoise » par l’intermédiaire de son média en ligne « Actu Lot » ainsi que « MediaLot » nous informent que le projet de la « Cité de la mode et des arts créatifs » est abandonné.
Rappelons que ce projet avait été porté par l’ancien président de Cauvaldor, Gilles Liebus, et qu’il n’aura donc pas survécu au changement de présidence.
Pour lire l’article d’Actu Lot, cliquez ici.
Pour lire l’article de MediaLot, cliquez ici.
Suite à la décision prise par le Tribunal administratif de Toulouse en avril 2018, Cauvaldor se doit d’acter une modification du SCOT par la mise en place d’une enquête publique qui débutera le lundi 8 février 2021.
Par cette enquête, Cauvaldor doit procéder à la régularisation de la délibération d’approbation du SCOT ordonnée par le Tribunal administratif de Toulouse suite à l’annulation du décret d’utilité publique pris pour le projet « Voie d’avenir » au début avril 2018.
Le projet de modification a pour objet la suppression, dans les cartes du SCOT du document du tracé correspondant au tracé T3 de la «Voie d’Avenir ».
Cette enquête publique marque un nouveau rebondissement dans une histoire qui date de plusieurs décennies. Depuis 1994 le Conseil Général du Lot avait prévu le raccordement des bassins d’activités du Nord du Lot à l’autoroute A20.
(voir ci-dessous l’historique des projets dans le rapport d’enquête du 11 septembre 2015).
Mais comme on peut le constater et malgré de nombreux travaux déjà réalisés, ce raccordement n’a toujours pas abouti pour plusieurs raisons politiques, économiques, écologiques et peut-être tout simplement de bon sens…
Cette suppression du T3 dans les documents du SCOT qui encadre maintenant le développement de notre territoire marque-t-elle la fin de ce qui devait être le désenclavement du Nord Lot ou bien est-ce une nouvelle étape nécessaire pour remettre celui-ci en chantier ?
Et ne remet-elle pas en cause le SCOT de notre grande intercommunalité tel qu’il a été défini et approuvé début janvier 2018 puisqu’il intégrait le tracé du T3 et son impact sur notre territoire ? Faudra-t-il aller plus loin que la simple suppression des cartes de son tracé ?
Ce sont bien là quelques une des questions que l’on peut se poser avant de pouvoir lire le dossier complet encadrant cette nouvelle enquête publique.
Annexes à consulter :
Rapport_d’enquête_DUP_Voie_d’avenir_et_PLUi 11-09-2015
Avis_d’enquête_A2_fond_jaune_modif_SCOT
Arrêté_prescription_enquête_publique_modif_n_1_SCOT
Ce petit mot se veut comme un prolongement du texte publié par Caroline intitulé « La démocratie, une gageure ? ». Celle-ci l’a écrit plusieurs semaines avant sa publication et il prend tout son sens avec ce qui s’est déroulé à Washington depuis le 6 janvier.
Comme vous, sans doute, j’ai été anesthésié par l’invasion du Capitole, incrédule à l’effondrement d’un pan entier de ce qui faisait la « beauté » de ce grand Etat portant haut le flambeau de la démocratie.
Comment en est-on arrivé à ce moment insurrectionnel ? Car il s’agit bien de cela, d’un acte coordonné et porté par des valeurs reposant sur des flux tendus de mensonges, de menaces et de rejets des résultats pourtant très clairs des élections présidentielles.
Mais il y a plus grave parce que ce fait incroyable il y a encore quelques semaines, met en lumière la désunion, l’affrontement de deux visions du monde qui semblent difficiles à réconcilier tant la confiance en l’autre a été « abîmée ».
Alors Joe Biden va avoir une présidence compliquée car comme il l’a dit dans son discours d’investiture, il va falloir retrouver cette confiance et porter l’envie de retisser du lien entre tous les américains. C’est avant tout se mettre dans la peau de l’autre pour avancer vers lui et trouver un terrain de réconciliation entre deux camps pour le moment désunis.
J’ai trouvé très juste et ambitieux ce qu’il a dit « Nous allons porter la démocratie par le pouvoir de notre exemple » mais cet exercice est et restera périlleux car s’il échoue l’effet sera terrible comme l’ont été les images du Capitole répandues à l’envi par tous les médias mondiaux. Pourtant c’est bien par l’exemple d’un bon usage de la démocratie que celle-ci sortira vers le haut et retrouvera toute sa force de conviction et de rassemblement.
Alors oui la démocratie est fragile et c’est pourquoi il nous faut aussi être vigilants chez nous pour éviter ce rejet de l’autre. Vivre en démocratie ce n’est pas penser tous de la même façon mais c’est respecter l’autre, sa façon d’être, ses opinions pour mieux vivre ensemble.
Amish ratissant le foin dans le sud-est de l’Ohio
Nous avons vu la semaine dernière les évolutions de la téléphonie mobile qui nous permet aujourd’hui avec la 4G, à condition bien sûr d’avoir du réseau, d’accéder rapidement à l’Internet mondial et de pouvoir communiquer et échanger des informations de toute nature (photos, documents…) avec n’importe qui, quel que soit l’endroit où il se trouve.
Que peut donc nous apporter de plus la 5G ?
La vitesse
Encore une fois, les fréquences s’accroissent et les temps de transfert diminuent. Ainsi, le téléchargement d’un album musical de 12 titres qui prend aujourd’hui 15 secondes en 4G n’en prendra plus que 3, soit 12 secondes de gagnées… c’est sûr que ça va révolutionner nos vies !
Le contrôle des objets à distance
C’est quoi un objet à distance ? Par exemple, une voiture autonome, c’est-à-dire une voiture qui prend elle-même (via son informatique de bord évidemment) les décisions nécessaires pour pouvoir vous emmener en toute sécurité d’un point A à un point B.
Grâce au très faible temps de réactivité (ce qu’on appelle la « latence »), il sera possible de réagir très rapidement, pour effectuer un freinage d’urgence par exemple. Mais imaginez-vous sérieusement un constructeur qui prendrait le risque de fabriquer une voiture qui aurait besoin d’un réseau sans fil pour déterminer comment réagir à un évènement urgent ? D’ailleurs des véhicules autonomes circulent déjà depuis plusieurs années sans avoir besoin de 5G.
La télémédecine
Rien de tel que de parler d’applications médicales pour emporter l’adhésion du public, car qui serait prêt à sacrifier sa santé dès lors que la 5G pourrait, sinon sauver des vies, au moins améliorer les diagnostics et gagner du temps ?
Tout d’abord, si notre système de santé était à la hauteur de ce qu’on est en droit d’attendre d’un pays développé comme la France, c’est-à-dire si nous pouvions avoir accès rapidement à des consultations en cabinet proches de notre domicile, on n’en serait pas à se poser ce genre de question.
Ensuite, tant que le délai pour passer une IRM restera de l’ordre de 6 semaines, ce n’est pas la 5G qui améliorera beaucoup les choses.
Enfin, les systèmes prévus pour la télémédecine, fonctionnent essentiellement via des applications fixes et non mobiles et il sera infiniment plus facile de faire une téléconsultation sur son ordinateur que sur le tout petit écran d’un téléphone. Le réseau sans fil n’est donc pas nécessaire… mais la fibre oui !
Certes, dans des zones désertiques du monde où le plus proche hôpital est à des heures de route en 4×4 par de mauvaises pistes et où il n’y a pas d’infrastructures filaires, cela peut se justifier, mais chez nous en France en 2021, non !
De nouveaux appareils
Pour pouvoir accéder à la 5G il sera nécessaire de changer son smartphone.
Les partisans de la 5G reconnaissent que le recyclage des anciens appareils et la fabrication des nouveaux va augmenter l’empreinte écologique. Mais, argument spécieux, ils précisent que les Français changeant déjà de téléphone tous les deux ans en moyenne alors même que leur appareil fonctionne encore, l’arrivée de la 5G ne changera pas grand-chose in fine. La belle affaire, nous allons droit dans le mur depuis des années, continuons donc ; Le Titanic coule mais l’orchestre joue toujours !
Une révolution industrielle génératrice d’emplois ?
C’est ce qu’on nous promet avec la conclusion péremptoire de notre ministre de l’Economie qui nous dit : « ce serait donc une erreur dramatique de s’en priver ».
N’avez-vous pas déjà entendu ce genre de discours par le passé ? Et pour quels résultats ?
On nous promet ainsi une augmentation de la production économique mondiale de 12 mille milliards de dollars au cours des 15 prochaines années. Peut-être, mais au bénéfice de qui ? 22 millions d’emplois sont également promis… On croirait entendre un bateleur vanter sa marchandise…
Et pour l’usager ?
Il faudra changer son téléphone mais aussi prendre un nouvel abonnement.
Actuellement, Orange et SFR proposent des forfaits 5G à 95 €/mois, ce qui fait donc 1140 euros par an… Belle somme pour gagner 12 secondes lors du téléchargement d’un album mp3 ! Et rappelons, pour comparaison, qu’on a accès à une trentaine de chaînes TNT pour 138 euros par an (prix de la redevance TV).
L’avis de la Convention Citoyenne pour le Climat
Rappelons que cette Convention Citoyenne a été mise en place par le Président de la République afin de proposer des solutions pour réduire de 40% nos émissions de gaz à effet de serre à l’horizon 2030 (par rapport à la référence de 1990).
La Convention s’est penchée sur la 5G dans son Objectif 12 qui s’intitulait « Accompagner l’évolution du numérique pour réduire ses impacts environnementaux »
Elle constate que « Le numérique est un formidable levier pour la transition écologique et la lutte contre le changement climatique » et souhaite que « d’ici 2025 le numérique soit un moyen pour participer à la transition et pas un outil qui contribue toujours davantage à la hausse des émissions ».
Elle note que « la quantité de minerais pour fabriquer des équipements numériques est limitée dans la nature, et que pour une grande partie, l’épuisement total est attendu d’ici 30 ans ».
Elle précise que « les émissions actuelles de gaz à effet de serre liées à notre consommation numérique sont très importantes et en constante augmentation » et qu’elles atteindront en 2025 le niveau de celles de l’industrie automobile.
Conformément à sa Lettre de Mission, la Convention préconise (entre autres mesures fortes) :
– d’évaluer les avantages et les inconvénients de la 5G par rapport à la fibre avant et non après avoir accordé les licences pour son développement.
– d’instaurer un moratoire sur la mise en place de la 5G en attendant les résultats de l’évaluation (en cours) sur la santé et le climat.
Où en sommes-nous aujourd’hui ?
Contre l’avis de la Convention Citoyenne pour le Climat, en dépit des craintes sur les effets sur le vivant et malgré de nombreuses pétitions et recours en justice, le gouvernement a officiellement autorisé les opérateurs à activer leurs fréquences sur les sites déjà équipés en antennes.
Le déploiement de ce nouveau réseau nécessitera 10 mille nouveaux pylônes d’ici à 2025 puisqu’à fréquence plus élevée la portée est moindre (souvenons-nous des jours anciens où un seul émetteur grandes ondes suffisait à France Inter pour couvrir la métropole toute entière).
Puisque le but de son déploiement est de faire transiter plus de données, plus lourdes et en moins de temps, elle va démultiplier le volume de données à stocker dans le cloud, c’est-à-dire dans des data centers qu’il faudra alimenter en électricité en permanence.
Plus de machines, plus d’électricité, plus de données : où est la sobriété vantée par ses partisans ?
Enfin, la 5G permettra d’inonder l’environnement d’objets connectés, de mettre en réseau des caméras, drones, détecteurs de mouvement, ouvrant la voie à un monde ultra-automatisé, ultra-surveillé, dominé par l’intelligence artificielle, où le mot Liberté pourrait perdre beaucoup de son sens.
Public concerné:
La vaccination est désormais ouverte à l’ensemble des personnes appartenant aux catégories suivantes :
Si vous êtes concerné, vous pouvez vous faire vacciner dès à présent dans un des centres de vaccination ouverts.
Où ?
Mode d’emploi:
Appelez la plate-forme de l’Occitanie : 08 09 54 19 19
Et soyez patients, le nombre de doses disponibles est encore très insuffisant pour pouvoir vacciner toutes les personnes éligibles.
Nous avons demandé la semaine dernière à rencontrer Madame la Maire afin d’obtenir des éclaircissements sur plusieurs délibérations prises lors du dernier conseil qui s’est tenu à huis clos le 10 décembre 2020.
Pourquoi ?
C’est tout simplement une des conséquences du huis clos et du refus de notre maire de rendre possible un enregistrement de ce conseil comme nous l’avions proposé (cf notre article : « Le conseil municipal doit rester public ! » mis en ligne le 24/12/2020).
Il est bien certain que si nous avions pu assister ou même voir ou entendre ce qui a été débattu lors de ce conseil nous n’aurions pas été obligés d’engager cette démarche un peu particulière.
Et ce, malgré l’effort évident fait par la municipalité de rendre plus explicite la rédaction du PV pour répondre à notre demande.
Un couac avant cette réunion !
Nous étant de concert rendus en mairie pour demander cet entretien avec Madame la Maire, celle-ci nous avait donné rendez-vous pour le vendredi 8 janvier. Mais la veille de ce rendez-vous, Madame la Maire repoussait celui-ci au samedi 9 pour cause d’agenda trop chargé…
Nous nous sommes donc rendus en mairie samedi où nous étions attendus par notre maire mais aussi par l’ensemble du bureau municipal à savoir la présence des quatre maires-adjoints.
Nos questions et les réponses que nous avons eues
Le conseil municipal n’a pas souhaité réagir à cette lettre par une publication mais il a déposé une plainte auprès des services compétents.
La date n’est pas encore fixée. S’il se tient de nouveau à huis clos, le conseil étudiera la possibilité de retransmission.
Nous avons obtenu les clarifications suivantes sur le tableau de plan de financement présenté dans le PV
Ces chiffres restent très approximatifs car il n’a été fait pour l’instant qu’un seul devis par poste.
Il n’est pas prévu d’isolation des murs de l’école et des locaux de l’ancienne mairie dont la grande salle est utilisée par l’école comme salle de motricité. L’argument est que l’isolation intérieure des murs réduirait la surface des classes. Est-ce que le gain de performance énergétique sera suffisant dans ces conditions ?
Depuis, nous avons demandé si nous pouvions consulter le rapport des préconisations établi par Quercy Energie mais la réponse a été négative.
Le nouveau syndicat créé par la fusion de 5 syndicats existants dont celui du Blagour aura son siège social à Martel. Il a le rôle d’infrastructure et la SAUR reste le fontainier qui assure la gestion de l’eau (maillage du réseau et portabilité de l’eau). Il est peu probable que Cauvaldor prenne la compétence assainissement en 2026, celle-ci revient la plupart du temps au syndicat.
Lors de la construction de l’autoroute, Cressensac a participé financièrement à la réalisation de l’ouvrage Encorlac et en contrepartie Gignac leur a donné un accès gratuit à l’eau jusqu’en 2022. On ne sait pas s’il s’agit d’un accord écrit, si une convention a été signée entre les deux villages.
Clarification des superficies: après rétrocession d’une partie, la mairie dispose d’une superficie de 10 215 m² répartis en 5 lots à bâtir. La mairie compte sur des aides pour amortir les frais d’acquisition et de viabilisation des parcelles. L’assainissement sera à la charge de l’acquéreur. Ce secteur (comme la Lande Haute) ne sera pas relié à l’assainissement collectif à cause d’un coût trop élevé. Les lots devraient être proposés à un prix inférieur au prix moyen (environ 19 €/ m²) pratiqué sur la commune afin d’être attractifs.
Le vote d’un crédit supplémentaire de 10 000 euros pour achat de matériel est nécessaire pour créer une prévision sans laquelle il serait impossible d’investir entre le 10 décembre 2020 et le vote du budget suivant.
Le garage et l’appartement appartiennent à la mairie, il est donc logique de récupérer les murs pour ne pas avoir à faire de syndic avec un éventuel autre acquéreur. Pour acheter le fond et les murs, la mairie fait une offre de 65 000 € qui sera retenue s’il n’y a pas d’offre supérieure (peu probable). Elle devrait récupérer les 32 000 € non-soldés mais elle ne peut en avoir la certitude. Nous n’en savons pas davantage sur le projet envisagé.
C’est un choix de la part de la municipalité d’Estivals de scolariser les enfants à Gignac alors que la carte scolaire les destine à l’école de Nespouls. Les deux communes ont toujours eu des liens étroits. Les frais de scolarité entre les trois villages du RPI sont-ils harmonisés ? Dix élèves gignacois sont scolarisés à Nadaillac. Le bureau municipal n’a pas pu nous dire ce qu’il en était des frais de scolarité demandé par Nadaillac pour ces élèves et ceux venant d’Estivals. Il est mentionné la présence d’une ATSEM à Gignac en maternelle (coût pour la municipalité) et pas à Nadaillac ce qui pourrait expliquer une potentielle différence de frais de scolarité.
Il n’y a pas de syndicat intercommunal entre les deux communes. La question est donc de savoir si le RPI Gignac-Nadaillac est organisé en convention signée par chaque maire formalisant l’accord passé entre Gignac et Nadaillac. Lorsque c’est le cas, les statuts de la convention définissent la répartition des charges entre les communes, ce qui permet notamment une harmonisation des frais de scolarité. Nous allons nous renseigner sur ce sujet en mairie.
Si un enfant de Gignac quitte le RPI pour une autre école, la mairie remet aux parents une attestation qui stipule qu’elle ne paiera pas de frais de scolarité pour cette nouvelle école.
L’inspecteur départemental de la circonscription de Gourdon incite Gignac à rejoindre la nouvelle école en construction à Cressensac et une petite dizaine d’enfants gignacois y sont déjà scolarisés. La question se pose : comment renforcer l’attractivité de l’école de Gignac ? Par une politique d’urbanisme volontariste mais il y a peu de terrains à construire et les prix sont élevés.
En fusionnant les budgets, l’excédentaire des logements sociaux peut servir au budget principal au lieu d’être réinvesti dans les logements et les frais de comptabilité sont diminués.
Il nous a été précisé que l’équipe municipale n’avait pas fait campagne sur un projet collaboratif. C’est donc aux élus de porter les projets qui pourront être présentés lors de réunion(s) publique(s). Quant aux commissions, elles ne seront ouvertes qu’en cas de besoin.
Annexes à consulter :